13 mai 2001

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«Salam ,

Je me réveil avec des douleurs au dos . Je me rappel que ma mère m'a donné une boîte alors je me lève et je vais la chercher je l'ouvre et je vois un bracelet . Couleur or .

* Tu réussiras , si tu le veux in sha Allah .*

Je le regarde , je peux pas m'empêcher de pleurer. Ma mère me manque , mon père me manque , tout le monde me manque . Ma vie d'avant me manque . Pourquoi ? Pourquoi je suis seul ? Je les aimes trop .

Je descend à la cafétéria . Et je voix qu'il y'a des "croissants " j'ai honte de le dire mais j'en ai jamais mangé . J'en prend un avec un bol de lait au chocolat chaux . Je m'assois je suis seul cela me dérange pas j'en ai pris l'habitude sauf de ma famille . Je mange mon premier croissants. C'est délicieux !

Je vois la copine de ma mère arriver avec le sourire.

La copine de mère : comment va tu ?

Moi : bien .

La copine de mère : tu va pouvoir voir ta maman !

Moi : d'accord.

Je me lève de ma chaise et je pars dans ma chambre sauf que les couloirs se ressemble et je me perd.

...: on est perdu !?

Je me retourne et je vois un groupe de garçon de 12 ans .

Moi : euh....oui

Le "leader " vient vers moi .

Le leader : t'es nouveau ?

Moi : oui .

D'un coup je me sens projeté . Le leader me prend par les cheveux et me traîne par terre , il m'arrache un cheveux . Je sais pas si vous savez mais quand on s'arrache un cheveu sa fait hyper mal . Il m'arrache alors plusieurs cheveux me m'enchaîne de coup . Le reste du groupe me frappe aussi . Je pleure beaucoup.

Le leader : c'est bon on arrête , on s'casse

Ils se barrent en courant, moi je reste par terre . Je pleure . Je suis une pauvre petite fillette . UNE PAUVRE PETITE FILLETTE. 

Je me déteste , il me déteste , je déteste . Je vois la copine de ma mère arriver en courant.

La copine de ma mère : mon chéri , qu'est-ce qui c'est passer ?

Moi : rien !

La copine de a ma mère : viens je t'accompagne à l'infirmerie .

On marche dans les couloirs, je pleurer toujours autant. Nous arrivons devant une porte on il y'a inscrit " L'INFIRMERIE " . Elle ouvre la porte . L'infirmière me regarde choqué . Je baisse la tête. La copine de ma mère et l'infirmière parle en privé.
Je m'assois sur le lit et la copine de ma mère part .

L'infirmière : ça va ?

Moi : oui .

À Cœur ouvert Où les histoires vivent. Découvrez maintenant