Et ce matin en marchant,
J'ai croisé tout ces gens,
Tellement différents.
Alors je me suis assise sur un banc,
Les yeux fixés sur un oiseau blanc,
J'ai attendu qu'il y ait un coup de vent,
Pour réfléchir et aller de l'avant.
Et j'ai repensé au temps,
Juste le temps d'un instant,
Et en te voyant,
Mon regard était pétillant.
Puis en me levant,
Tous ces gens bienveillants,
Devenaient effrayantsDuval Manon