Est-ce vraiment la fin?( chap 23)

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Attendez ce que je viens de dire n'a nulle sense, et voilà que je deviens folle maintenant c'est "super". Bon j'ai plus d'armes ça signifie qu'une seule issus possible, le combat à main nue. Ça casse ou ça passe!  

Je lançai un regard vers Luciel qui se faisait capturer ou toucher ou attraper par des genre de lutin qui décidément ne connaissaient pas ce qu'était le rasoirs. Je ne suis pas contre un peu de pilosité mais la c'est trop de pilosité.

Je réalisai alors mon erreur, dans un combat se déconcentrer ne serait-ce que quelque petite secondes peut être fatale. L'un d'eux m'attrapà de ses griffes pour ensuite me lancer brutalement contre un arbre.
Ça faisait un mal de chien!

Ils se précipitèrent tous vers moi,  d'autre en courant,  certain en bondissant. [Des phénomènes ses bestioles.] Je me levai pour m'enfuir, cette stratégie qui était si incroyablement connue et utilisé par beaucoup. Je devait attendre que la douleur cesse...

L'un qui était caché et qui avait des yeux différent, s'en fût presque dérangeant. Il me sauta dessus en dévoilant ses griffes qui étaient plus imposants que les autres. Serait-il le chef de cette meutre?
Par cette pensée, une lueur d'espoir amenant avec elle une brillante [ pas si brillante car même)  idée. "Tuer le chef mènera à l'anéantissement  de  la meurtre" mais encore faudrait-il pouvoir le tuer. Il était évident que je n'étais pas de taille sans arme et ce mystérieux pouvoir le R-eam.

Il me fît tomber sur le sol et me coinça pour me griffé la peau à l'arracher. Je sentais le sang qui ne cessait de couler sur l'herbe, j'en perdais énormément. La douleur ne me dérangeais pas tant mais le fait de mourir ainsi me donnait la force de débattre même si elle était minime.

Je devait me libérer,  à chaque coup de griffe me sentai mourir un peu plus. Je devais vivre bien que la raison est banal...

Je devais me rendre à l'évidence, je n'arrivai plus à me débattre. La chance de m'en sortir vivante était nulle, il n'y avait plus aucun espoir. Mes yeux se fermèrent pour ne sûrement plus jamais s'ouvrir...

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