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Je me réveillais doucement, les draps ne me recouvrait plus, j'étais nu dans un lit que je connaissais même pas et ce n'était même pas chez moi, logique. Pour ne pas vous mentir la couverture avait disparu par terre, à mon avis elle devait être du côté du maître. Je fus surprise quand il me regardais avec son regard qui me charmait plus d'une fois, je rougis en me retournant pour me mettre dos à lui. Il soufflat doucement dans mon cou, j'eux un léger frissons dans le dos mais j'étais encore plus rouge qu'avant, il posa sa main sur mon épaule pour qu'elle continue son chemin sur mes hanches et s'arrêta sur mes fesses.


je faisais semblant de m'être rendormi mais il avait compris mon petit jeu. Il tira ma crinière en arrière pour déposer ses douces lèvres sur mon cou encore chaud, il avait vu que je rougissais et il rigola bêtement.

Maître: hier ne vous à pas suffi ?

- si largement

Maître: je n'en suis pas si sûr

- si je vous jure

Maître: tournez vous

Je faisais la grimace en me mettant sur le dos, il haussa un sourcil, quelque chose n'allait pas pour lui.

Maître: vous vous êtes trompée de sens

Aïe.
Oui aïe pour moi parce que c'est pas la que ça doit rentrer mais il y une première fois à tout. Je me tournais avec un peu de peur puis il me donna un fessée, je poussais un petit cri de douleur.

Maître: taisez vous

Il m'en donna une autre encore plus forte, je criais encore sans le vouloir.

Maître: vous voulez mourir ou quoi ?

- non s'il vous plaît faites doucement

Maître: on verra si vous criez encore

Il m'en donna encore une qui me fit encore crier.

Maître: vous avez perdu

Il me tira pour me mettre à quatre pattes puis il me pénétra d'un seul coup, c'était douloureux pour une première fois.


- stop....j'ai mal....

Maître: c'est moi qui donne les ordres

Il me donna des coups encore plus fort, mes bras ne tenaient plus, j'avais la tête sur le matelas en train de souffrir. Soudain on frappa à ma porte, avec une main il me tira les cheveux vers lui et me chuchota quelques mots à l'oreille.

Maître: répondez à ma place

Personne ne parlait, j'attendais qu'on réponde avec une voix masculine mais non c'était une femme assez âgée. Il me martelait toujours l'intérieur, la douleur était toujours présente.

?: Il y a quelqu'un ?

- ou.....oui....

?: Ah je vous ai reconnu, je voulais savoir où était........votre cavalier d'hier soir ?

Le maître secoua son doigt devant moi pour me faire comprendre de ne rien dire à cette dame qu'il connaissait sans doute.

- je...ne sais pas.. ~Ahh~

?: Vous allez bien mademoiselle ?

- oui...je...je viens juste de...me faire mal

?: D'accord mais si vous voulez manger il y a quelque chose en bas

- m..merci beaucoup

?: Mais de rien

- ~Ahh~

Elle descendit les escaliers, je ne l'entendais plus.

- vous pouvez arrêter s'il vous plaît

Maître: non !

Il mit sa main devant ma bouche et enfonça son calibre au plus profond de moi, je criais de douleur mais plus il le faisait plus je m'y habitait, mes cris devait des cri de plaisir incontrôlé.

- ~mmmh...Ahh oui~

Il se vida enfin, mon corps transpirait, j'étais déjà fatiguée alors que je venais de me lever. Il se retira et se leva et pris son pantalon pour finalement le mettre. Il me regarda, je fis une esquive, j'étais trop gênée pour le regarder droit dans les yeux.

Maître: je vais me doucher

- d'accord....

Il y eu un blanc, il me regardais comme s'il attendait quelque chose de moi.

Maître: levez vous

Je me levais en me cachant un maximum, je regardais par terre.

Maître: c'est pas comme si je vous avez jamais vu nu

- vous avez enlevé mes habits je ne peux pas sortir

Maître: prenez ma veste de costume elle est assez longue pour vous cacher je pense

Je sortais de la chambre, par chance il n'y avait personne à l'étage, je longeais les murs au côté du maître qui marchait torse nu et en pantalon, sans gêne. Il me poussa dans une immense salle de bain ou il y avait une grande douche. Il enleva sa veste de moi en allumant l'eau chaude, il me poussa dedans alors qu'elle était encore froide, il enleva son pantalon et le reste, je me tournais en tenant ma tête dans les mains.

~ 𝓤𝓷𝒆 𝓶𝓪𝓲̈𝓭 𝒆𝓽 𝓼𝓸𝓷 𝓶𝓪𝓲̂𝓽𝓻𝒆 ~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant