tornade de poésies.

Divers

Pauvreté

Il est seul, presque nu
Il vit ainsi dans la rue
C'est une âme brisée,
Détruite par le bourreau pauvreté.

Mais la richesse, qu'est ce que c'est ?
Est-ce trop d'argent ou vivre équilibré ?
Est-ce trop bon ou trop méchant ?
Est-ce vraiment une question d'argent ?

Il décimé des pays entiers.
Son héraut, la guerre, annonce son arrivée.
Sur son passage, les populations sont dévastées.
Ainsi agit la pauvreté.

Mais rien n'est figé !
Le monde tente d'aider son prochain.
Nous pouvons éradiquer la pauvreté
Pour les hommes de demain.

Le train de la vie

Vite, on va le rater !
Et impossible de prendre le prochain.
Ainsi en cette belle matinée
La vie nouvelle prend son train.

Wagon 1, créatures microscopiques
Champignons, cellules, flore bactériologique.
Wagon 2, dinosaures.
Mais il est vide depuis qu'ils sont tous morts.

Wagon 3, végétaux
Ici, la sève coule à flots.
Wagon 4, animaux
Lion, singe, certains plus ou moins beaux.

Wagon 5, les hommes
Des bons à rien, des méchants
Qui de la Terre se donne
La domination illégalement.

Papa
C'est une personne un peu spéciale
Qu'on place au-dessus du reste
C'est un très fort un familial
C'est mon père que j'aime.

Qu'il soit grand ou petit,
Chauve ou chevelu,
C'est mon papa chéri
Grâce à lui je suis apparu

C'est lui qui me façonne
Qui m'éduque patiemment
Tous les jours il me donne
Des conseils pour vivre plus facilement

Je l'aime mon papa
C'est aussi simple que ça
Et jamais vous ne trouverez
Mieux que mon père adoré.

Tristesse
Les larmes coulent librement
Sans que je ne veuille les arrêter
Je pleure silencieusement
Pour moi c'est l'hiver en été.

Je gémis, je soupire
Je me dis que ça pourrait être pire
Mais c'est incontrôlable.
La pluie de mes larmes pourraient arroser les plus grands des arbres.

Maelström

J'ai l'impression de me réveiller
Au cœur de ce maelström.
Au milieu de ce brasier,
Je ne vois plus que de vagues formes
De pâles silhouettes décharnées.
Voila ce qu'appellent nos généraux
Le combat glorieux pour la liberté.
Pour nous c'est un boucherie, tout espoir abandonné.
Tout au fond de nos tranchées, depuis longtemps je me suis terré.
Et du ciel incendié, les nuages le soleil ne laissent passer.
Au milieu de ce combat acharné,
J'ai peur s'y rester.
La sueur à la peau, la peur au ventre, je mange les rations qu'il me reste.
Un cadavre à côté
Achève de me tenter.
Sur son corps je me suis précipité
Et sa nourriture je lui ai spolié.
A quoi cela. Pourrait il lui servir,
Maintenant qu'il a rendu son dernier soupir ?
Moi, je suis toujours là.
Pour l'instant en tout cas.
Mais, au centre de ce maelström,
Au formes difformes,
Seul, bien loin de mon hameau
J'ai crié au milieu de ce chaos.

Chat

Félin gracieux
Et très paresseux
S'écroule comme un mollasson
L'air grognon, sur mon paillasson.

Félin câlin et joueur
Félin gentil et joyeux.
Petite boule de poils remplie de douceur
Bon compagnon de jeu.

Félin mignon
Vraiment craquant
Au pelage doux
Au regard pénétrant.

Félin fidèle mais indépendant
Qui s'endort sur mon ventre tranquillement
Et qui me condamne pour le reste de la soirée
A rester affalé sur le canapé.

Car je n'ose le déranger
Il est si mignon, pourquoi l'embêter ?

Là bas

Je vois au loin
Là bas, à l'horizon,
Une lueur qui percé les saisons.
C'est le soleil qui commence son ascension
Il est rouge, orange, jaune,
Couleurs de merveille,
Tapissent les cieux
D'une multitude de couleurs radieuses.
Il annonce que, là bas,
Il éclaire un autre pays, un autre endroit
Un lieu où peut être habite quelqu'un comme moi
Qui rêve en silence,
Observant les prouesse de la nature.