J'vais pas vous parlez d'amour ou de sujets trop surfaits,Ni vous contez mes jours aussi tristes que vrai,
J'vous demanderais juste de m'écouter, une fois c'est tout,
Car il est vrai qu'des histoires comme ça on n'en voit pas tout les jours,
J'veux faire passez un message, qui mérite d'être entendu,
Ok, je suis pas une sage, mais jusque là j'me suis tus,
J'ai écris avec mes tripes, pour vous slamer c'morceau,
Comme une envie d'crier, ce que j'aurais du dire plus tôt !
C'est pas une histoire banale, mais il était une fois,
Un être qui a vécu avec mal, pourquoi pas commencez comme ça ?
Une vie de plus à aborder, je ne sais pas où commencer,
Peut-être par la cause, de cette histoire morose,
On sait tous qu'avoir une famille, c'est pas donné à tout le monde,
Et que d'venir au monde, c'est pas avoir une belle famille,
Lorsqu'il est venue ici bas, cet être n'y pensais pas,
Aux aléas de la vie, et des malheurs de vivre ici,
La séparation d'une famille, la recomposition d'une autre,
L'arrivé de Camille, ce beau-père devenue notre,
Une ignorance profonde, de l'enfant qu'il était,
Il a appris à ce fondre, dans le décor trop parfait,
Quelques années plus tard, commença l'histoire,
On entendis pleuré, l'enfant grondé,
Trop d'amour maternel, qui mène du rire au larmes,
Claquement accidentel, faisant un d'ces vacarmes !
Et pas qu'une fois, pendant sa ptite enfance,
Elle a appris à se taire, à souffrir en silence,
Punition banale, pas d'quoi piquer une crise,
Après tout ca f'sait pas de mal, une gifle bien mise,
Jours après jours, cris après cris,
Ça faisait trop d'amour, elle se dit« sa suffit »,
Elle commença a parler, d'abord à son mentor,
Cette sage dame âgée, qui l'aida alors,
Même une main tendue prend du temps à relever
Une personne abattue, par l'honneur des fessés,
Pendant c'temps enfermée, dans sa chambre le soir,
Il lui arrivait de penser, a certaines idées noires,
Comme un conte de fée, l'histoire fini bien,
Elle a été sauvé, à sa vie elle n'a mit fin,
Mais après tout qui dit, que sa n'arrive pas,
Ce genre d'histoire là, à des jeunes qui n'ont rien dit,
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Les mots de mon cœur
Poetry"Mes mains se crispent, sous la colère, Mes larmes coulent, mon cœur se serre, Ma gorge se noue, j'y vois plus clair, Mes mains écrivent, et fusent comme l'éclair, Pour exprimer, les mots de mon cœur, Ma vision personnelle du bonheur, La...