Sentir le vent m'effleurer,
Sur ma peau à peine ridée,
À cause des quelques insomnies,
Depuis que t'as quitté notre lit,Je n'entend plus le chant des oiseaux,
L'eau coulée des ruisseaux,
Ni le rire des enfants,
Aujourd'hui, ta voix me tente,
Resonnent les souvenirs incessant,
Avec tes belles paroles qui me hante,Un paysage sans fin,
Illusion de ma souffrance,
Car se dresse ton absence,
De ta douceur j'ai faim,
Mais trouvant plus de sens,
À notre amour intense,
Tu préfères briser notre lien,
Qu'on avait construit si bien,Et un vent de peur,
Tu n'étais que faux,
Chuchote moi un dernier mot,
Et pour toi ma dernière fleure,Sentir se souffle m'effleurer,
De nos souvenirs détestés,
Car seule, tu m'a laissée.
VOUS LISEZ
Memories never die...
Poesie«Comme le théâtre est fait pour être joué, la poésie est avant tout faite pour être dite.»