Tora: chapitre 1

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Au par avant j'habitais en Orient, un très grand pays qui regorge de paysages paradisiaques et de mystères encore non-résolu. C'est à cette époque que je commençais à me faire un nom grâce à mes prouesses au combat.C'est aussi à cette époque que j'ai du déménagé en France car mes parents y avait trouvés un contrat de travail « intéressant »comme ils disaient. J'étais contre! Je ne voulais aucunement quitté ces paysages que j'ai côtoyer toute mon enfance et surtout laisser tout ce que j'ai entrepris, fondé ici pour tout recommencer dans un autre pays qui m'était inconnue ! Mais que voulez vous, les parents ont toujours le dernier mot alors je mettais soumis à leurs volontés que ça me plaise ou non. J'ai du tout laisser derrière moi, mes parents me disaient « ne t'inquiète pas tout va bien se passer » ou encore « tu verras ça va être génial ! »mais pour moi c'était l'enfer. J'étais dans un pays totalement différent, je n'avais plus aucun reperd mais le pire de tout était l'école. Ce magnifique endroit où tu pouvais passer du beau gosse de la classe au violeur sans cœur, où tu pouvais passer de l'enfant discret qui ne se faisait pas remarqué au play boy.

Mon premier jour d'école dans mon nouvel établissement, je m'en souviens comme si s'était hier. Arrivé dans mon nouveau collège je devais allé à la salle des profs pour recevoir tous les livres et autres affaires inutiles.Puis, après cette récolte d'infos et de matériel scolaire le directeur m'avais accompagner jusqu'à ma nouvelle classe pour me présenter à mes nouveaux camarades. Je m'en souviens, il m'avait dit d'entrer à son signal, c'était pour soit disant suivre la tradition mais la réalité était autre. Il me connaissait grâce à ma renommé et avait exiger aux élève de se comporter correctement avec moi car« la réputation du collège est en jeu », moi qui voulais être discret.... Enfin arriva le moment où il me fit signe d'entrer, j'étais tellement gêné de ce qu'avait fait ce fichu directeur, je n'arrêtais pas de fixer le sol. Soudain je ne sais comment, j'ai trouvé le courage de lever la tête. C'est à ce moment là que je l'ai remarqué, elle m'avait tout de suite tapée dans l'œil, pourtant ses vêtements et son attitude était aucunement tape à l'œil, portant elle attirait mon attention, je ne comprenais pas. Suite a une courte présentation j'avais gagner ma place. J'étais tout au fond de la classe à côté de la fenêtre et ma place était parfaite pour l'observer. Elle discutait avec ses voisins de table. Elle était si belle, ses longs cheveux presque aussi foncés que les miens, son regard chaleureux ,son sourire sans égal. Je crois que s'était à ce moment que cupidon m'avait transpercer avec sa flèche.


6 ans plus tard, je suis en première année de lycée et j'étudie dans un lycée très renommé qui a la particularité d'être un bâtiment historique. Aujourd'hui, ce pays qui me paraissait comme une terre inconnue est à présent mon lieu de vie quotidien, je m'y sens comme en Orient.

Dans ce nouveau bahut je ne suis pas seul, je suis avec elle. J'ai réussi au fil des années à me rapprocher d'elle au point où, aujourd'hui je suis l'une des rares personnes qui lui sont le plus proche. Notre relation est très envié, on a une complicité indescriptible. Cependant, mes sentiments à son égard n'ont pas disparus et ne sont malheureusement pas réciproque. De plus, je n'ai pas réussi à lui avouer ma flamme. Ça me ronge de l'intérieure mais je ne laisse rien paraître et je l'aide dans ses histoires amoureuse et la console dans ses peines. Son bonheur est tout ce qui compte pour moi. J'en ai envoyer plus d'un à l'hôpital pour elle. Personne n'est autorisé à la faire pleuré et si sa arrive je me charge personnellement de son cas.



Mais cette vie que je qualifie de vie de rêve, de vie utopique bascula un beau jour de printemps....

ToraWhere stories live. Discover now