Reliquiae : Les 8 lames de la destiné

Chapitre 2 : Le GSF

J'accompagnais mes parents jusqu'à la grange où on pouvait louer les chevaux, ils ont payé 50 dolls par personne (c'est notre monnaie et pour vous faire une idée 20 dolls représentent à peu près 5 pièces d'or), juste après cela, je suis passé prendre Alex chez elle : c'était une grande maison avec un toit bleu et trois étages, il y avait au moins 3 fenêtre à chaque étage, vous l'aurez donc compris une vrai maison de riche, mais bon, ses parents étaient des marchands plutôt malin et vendeur d'arme pour les gardes royales, après tous villes et villages d'à côté possédait les meilleurs forgerons et constructeur d'arme à feu du continent, les parents d'Alex les achetait en gros et les revendais juste après.

Une fois devant la maison je sonnai, et Alex courut à la porte pour m'accueillir, derrière elle il y avait un gros chien blanc, il me regardait d'un air content (on le voyait car il secouait la queue de droite à gauche assez rapidement), après avoir ordonné à son chien de ne pas bouger, elle prit son sac et ouvra la marche. Je lui racontais mon rêve pendant qu'on marchait et quand elle a entendu que le nom commençait par « A » elle a tout de suite pensé que c'était elle (quelle imagination elle a).

A force de marchait, nous arrivons devant un grand bâtiment avec une façade en verre et un toit ouvert, il mesurait près de 15 hectares et été séparé en 3 partie avec des décors et des modes de jeux différents, c'était le bâtiment où toutes les batailles de GSF avait lieu.

Je viens de me rendre compte que je vous parle de mon jeu favoris sans vous en expliquer quoique ça soit, commençons par le commencement : Gun-Sword-and-Freedom est jeu soit d'équipe soit solo où les adversaires peuvent s'affronter avec certaines conditions (comme pesanteur 0, ou gravité fois 5, ou même des terrains piégés...) pour remplir un certain objectif (match à mort par équipe, combat en solo, capture de drapeau...) tout en étant en sécurité malgré le réalisme des douleurs (que l'on peut aussi réglé, mais celui-là se règle directement sur la combinaison), pour remplir ces objectifs on choisit de se battre avec des armes ou même sans, bien sur ceux qui sont sans armes ont un avantages par rapport à ceux armé : on ne les voit pas sur le terrain, ceux avec une arme à feu sont visibles sur le terrain en continue (sauf cas spécial des sniper où eux c'est par balayage toutes les 15 minutes) tandis que ceux armés d'une arme blanches sont visibles sur le terrain toutes les trois minutes par balayages, bien sûr il est possible d'allier arme à feu et arme blanche mais à partir de là votre combinaison vous alourdis (donc imaginait si vous jouer avec une gravité élevé). Autrement dit chacun possède une carte électroniques où il aperçoit les positions de l'ennemi et des alliés en fonction de leurs armes.

Mon mode de jeu préféré était la capture de drapeau, avec Alex dans mon équipe qui protégeait le drapeau et moi qui partait à la conquête de celui de l'adversaire notre équipe était quasiment imbattable, nous étions d'ailleurs parmi les mieux classés. En général nous jouions à deux contre plusieurs, mais il nous arrivait aussi d'accepter un membre pour une partie dans l'équipe slinger team (c'était le nom de l'équipe au cas où vous n'aviez pas compris), nos conditions préféré sont la gravité fois 10 par temps de neige, moi je jouais avec deux petite faux, tandis qu'Alex jouait avec son arme favoris : le fazil (un arc très longue distance mais très léger et assez solide pour pouvoir assommer quelqu'un).

Ce jour-là il n'y avait pas beaucoup de monde mais seulement les équipes les mieux classé de la région, nous étions 12 équipes au totale, et la plus grande équipe contenait 5 membre, nous étions donc la plus petite équipe, de ce fait, nous étions quasiment désavantagé, en plus notre premier match de la journée tombait contre les loups de Baric (la deuxième meilleur équipe du classement) :

« Enfin nous avons l'occasion d'affronter la troisième équipe la plus forte de la région, vos précédents matchs nous ont impressionné.

- Merci, je suppose, mais qui êtes-vous ?