certains songes sont courts, et ceux-là sont parmi mes préférés, car tu finis toujours par te déshabiller, enfin retirer cette couche de vêtements si fine et à la fois si inutile, car ton corps est beau et l'une des choses que je préfère est l'observer dans toute sa vulnérabilité ; la courbe presque inexistante de tes seins, l'os de ton poignet qui ressort presque trop, tes hanches qui se dessinent légèrement sous ta taille fine, tes cuisses minces, tes joues qui rosissent sous mon regard ; et ensuite j'y promène mes mains tout en y glissant mes yeux, parfois tu soupires et parfois tu restes en silence, mais dans les deux cas je te désire si fort et si ardemment que mon regard pourrait te consumer toute entière.