- Dis-moi Quentin, crois-tu en dieu ?
-Allons lily! tu sais très bien qu'on n'est pas autorisé à poser ce genre de question.
- Repends moi honnêtement, loin de tous ce qu'on nous apprends.
- Je ne saurais te rependre Lily, je me demande toujours s'il existe vraiment, ou c'est qu'une invention des humains faibles pour justifier leurs actes au nom de dieu ! je crois qu'on ne connaîtra jamais la vérité, en tous cas pas dans cette vie.
- Si dieu existait pourquoi avoir créé la souffrance et le mal ? crois-tu que dieu et diable font la même personne ? en quelque sorte nous somme pas tous des marionnettes pour divertir dieu?Je m'appelle Lily, et Quentin est mon ami ou peut être plus. Nous somme deux jeunes adolescents, j'étais âgée de 15ans et Quentin avait un an et demi de plus que moi. On vivait dans un orphelinat en Italie plus exacte à Rome, tenue par des hommes de religions, et qui appartient à la sainte église catholique de Rome et on étudiait à l'école de l'orphelinat.
On nous a apprit dés notre jeune âge d'avoir foie en dieu, on nous a enseigné que dieu est le créateur suprême de l'univers et le seule qui mérite d'être médité et prier, on nous a aussi appris qu'il écoutera toujours nos prières et quand on fera des péchés : < excusez-vous honnêtement et demandez le pardon de dieu, il vous accordera une deuxième chance > disait la nonne qui prenait soin de nous.
On nous enseignait que le diable est notre seul ennemi juré qu'on devait le combattre avec la prière et la croyance en dieu, bien sure on avait jamais le droit de débattre sur ces sujets c'était des vérités absolues pour, nous ils nous étaient interdis de discuter ou de remettre en questions leurs leçons ou non on risquait le châtiment divin de dieu !
Pour vous parlez plus de moi : mes parents sont mort il y'a de là 7ans, j'étais encore qu'une enfant, on était une petite famille heureuse qui vivait dans un petit village paisible. Ma mère étais une femme bonne, calme, solitaire qui évitait toute affrontements avec les femmes du village, elle ne les aimait pas spécialement et eux non plus. Elle avait quelque chose de méfiant dans les traits de son visage, un regard vicieux, elle avait l'air de garder un vieux secret vraiment important, je la surpris plusieurs fois entrain de prier pour quelqu'un « dieu fait qu'il soit bien en sécurité loin des griffes du monstre » « protèges-le ce n'est qu'un enfant»disait-elle, je l'observer souvent répéter ces paroles elle était tellement consommée par sa prière qu'elle ne m'a jamais remarqué. On ne peut pas dire qu'on été vraiment proches mais c'était ma mère je l'aimais comme chaque enfant aimant sa maman. Mon père, lui était un homme travailleur qui s'absentait pour des jours, des mois dans de longues missions de travail. Puis un jour notre simple vie paisible fut détruite a jamais ! Ce jour la ! Quand une femme est venue crier devant notre maison : crève espèce de sorcière ! Sale prostitué meurs ! Puis les villageois ont commencé à nous balancer des pierres, ils ont commencé à taper fort pour finir en mettant le feu à notre maison. Les villageois ont accusé ma mère de sorcellerie et de prostitution. J'ai vu ma mère s'égorger devant mes yeux par un homme que je n'ai pas pu m'en souvenir de son visage a cause de la fumée qui envahissait la maison, mais elle avait ce sourire démoniaque qui me faisait si peur, c'était une scène horrible. Les gens dehors qui crier : brûlez la sorcière ! Brûlez la sorcière ! Je ne savais pas vraiment quoi penser dans cet instant, j'ai vu les villageois fou de rage ma mère a du faire quelque chose de mal, mais je ne sais pas quoi.
Mon père lui après cette tragédie n'a vécu que quelques semaines à cause de ses brûlures, durant ces jours il n'avait dit aucun mots, il était comme un corps sans âme, un mort vivant.
Moi considéré comme :' l'enfant du diable', fut rejeté par tout le monde, jusqu'à la mort de mon père vu que je n'avais pas de parents qui ont voulu me prendre en charge : ' tu portes malheur ! ' disaient-ils, J'ai été transféré dans cette école.- Lily qu'est ce que tu fais ? Toujours ce fameux journal hein ! On a cours.
- d'accord j'arrive !
J'aimais bien la compagnie de Quentin y'avait ce genre de complicité inexplicable entre nous, ce genre de débats, de délires, de discussions qu'on se faisait ensemble. On me disait souvent que Quentin était amoureux de moi, mais personnellement je ne donner pas importance à ces histoires, je savais que y'avais quelque chose de fort entre nous mais je ne saurai le définir, peut être qu'a la fin je l'aime aussi mais à quoi bon sert croire en ce genre de futilité, je crois que notre amour est unique dans son genre.
Il est 22h je rentre sur la route du dortoir là où je croise le directeur de l'école : alors ma petite Lily tu va bien?
- bah oui ça va.
- tes études ça va?
Et il mit sa main sur mon épaule on me traînant hors de ma destiné en me parlant sur les études sur la vie sur des trucs tellement bidons que je n'ai plus remarqué que je suis devant son bureau, il me disait : Lily entre j'ai quelque chose pour toi, c'était seulement en ce moment que je me rendais compte que quelques chose n'allais pas, je suis dans le bureau du directeur qui été assez vieux dans les 50ans je crois, gros, avec une barbe blanche et des cheveux blancs aussi, il mettait aussi des lunette et il avait cette crois, accrocher a son cou. Je viens juste de me rendre compte à quel point il été moche vu de près, il me disait avec une voix séduisante : ma jolie petite Lily... Que tu as grandis ! Depuis qu'on t'a accueilli dans notre établissement, regarde ces jolies jambes, ces magnifiques formes, tu es parfaite!
Puis il s'approchait de moi, je reculais traumatisée, je savais plus quoi faire ! Je croisais les doigts et je priais : "dieu si tu existe quelque part, si tu m'écoute sort moi de ce pétrin ! Je me suis rapidement rendu compte de ses intentions perverses !" Je n'ai pas eu de bon reflex j'étais tout simplement traumatisé je suis restée sans bouger à voir ce monstre s'appropriée mon corps, je l'ai repoussé, j'ai essayé de crier, mais qu'est ce qu'un corps qui pesais 45 kilos pouvait faire face a cette bête féroce ? Je priais et je priais encore dieu, je me suis rappelé de ce que La nonne me disais : " faut y croire" j'y ai cru, peut être j'ai essayé de croire ou peut être je savais au fond de moi que cela ne me mènera a rien, soudainement je me suis rappelé de ma mère quand on l'a égorgé, ces prières en continuations, dieu l'avait entendu ?je me suis rappelé de ces formules bizarres qu'on répétait pour invoqué les démons, cela devrait marcher ? ! Dieu n'ai plus un choix maintenant."tu ressembles tellement à ta mère"
ma mère? oui ma douce mère elle avait un jolie visage, vide, sans âme.
Pourquoi me parle t'il de ma mère? je n'ai pas le temps à penser, j'ai besoin d'agir. Je glissais ma main et je pris sa crois celle qui était toujours accrochée sur son cou et je le lui plantais droit dans le cœur, avec une précision incroyable, mais je ne me suis pas arrêter là, non hélas ! J'ai pris soin de bien le défigurer, et c'est bien là que je me rendais compte que j'étais vraiment l'enfant du diable je ne sentais plus rien ! Ni honte ni tristesse, je m'amusais a le découper, je lui plantais la crois encore et encore, son sang décorait mon visage, mes mains, et tout le décor de son bureau. Encore un peu plus de rouge et ça sera parfait hein cher directeur ?
