Bloody Painter X Reader

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(T/n) = ton nom

(T/p) = ton prénom

(T/s) = ton surnom

(C/c) = couleur de cheveux

(C/y) = couleur des yeux

(T/t) = taille ou ta taille

(N/f) = nom fille

†††

Pdv Reader~

Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours aimée peindre.
Peindre, dessiner, tout ce qui touche à la filière artistique enfaite.
Sûrement est-ce la raison pour laquelle j'ai atterrit ici.
Ici, aux Beaux Arts.
J'y avais déposée ma "candidature".
Au fond de moi je n'ai jamais ne serais ce qu'espérer y entrer, la concurrence étant rude, très rude.
De plus, la réponse tarda.
De ce fait j'oublias toute cette histoire et me consacra à d'autre pensées, alors quel ne fut pas ma surprise quand je reçu une lettre pour m'apprendre que j'étais admises!
Et donc me voilà partit pour l'Université.

En ce moment j'étais à l'internat en train de faire mes valises et oui!
J'étais en Week-end et qui dit week-end dit retour à la maison !
Je finie de boucler ma valise ainsi que mon sac et sortit de ma chambre que je partageais avec une gentille fille du nom de (n/f).
Je partis en direction du bus qui me mènera à une ville voisine de la mienne, là bas mon père me récupérera en voiture.

Je monta donc dans le bus et m'instala à l'avant, le fond étant toujours bondé.
Je sortit mon téléphone, brancha mes écouteurs et lança ma playlist favorite.
Je l'écouta tout le long du trajet.
Une fois arriver à destination je descendis du car après avoir stopper ma musique et ranger mes écouteurs.
Une fois descendue je regarda autour de moi et constata avec surprise l'absence de mon père.
Je déscida donc de l'appeler sur son portable : pas de réponse.
Je ne m'inquiète pas, sûrement est il en route et donc il ne répond pas.
Je m'assis donc sous l'abri bus et alla sur mon téléphone, je regarda des tableaux que je dois analyser pour mon prochain TP.
Quelque minute plus tard je vue la Peugeot grise de mon père arriver sur le parking je mit donc mon téléphone en veille et me leva celui-ci sortit de voiture,e dit bonjour et s'excusa pour le retard en se grattant l'arrière du crâne. Je lui dit que ce n'était pas grave en riant et m'instala en voiture à la place passager tandis que lui prenait le volant puis nous nous miment en route.

-Ellipse jusqu'au soir-

J'étais dans ma chambre, je venais de finir de manger, j'étais en train de peindre une toile avec concentration, cette toile étais à la fois pour le plaisir mais aussi pour mon DM en histoire de l'art sur le peinture impressionniste.
J'entreprends donc de peindre en usant de cette technique.
Cela faisait une heure que je peignait quand j'entendis du bruit en bas.
Je ne m'inquiètas pas, sûrement était-ce le chat qui avait fait tomber quelque chose.
Je continuais donc sans me préoccuper de ce qu'il ce passait autour de moi.
La porte de ma chambre s'ouvrit je continua mon travail pendant que c'était mon père.

Moi: Papa! Combien de fois je t'ai dit de ne pas me déranger quand je peint?

Aucune réponse, je souffla tout en continuant mon œuvre.

Moi: bon tu veux quoi?!

Toujours pas de réponse, je stoppa mon pinceau agacée.

Moi : Papa! Tu me déconcentre, si je ne suis pas concentrée je fait des œuvres imparfaite !

Puis je me retourna vers la porte. Ce que je vit me fit lâcher mon pinceau et ecarquiller les yeux. Devant ma porte ne ce tenait pas mon père, non. Devant ma porte ce trouvait un homme inconnu. Un homme doté d'un masque blanc avec deux grands orbites noirs, masque où était dessiner, avec ce que j'identifiai comme étant du sang, la matière étant trop fluide et pas asser opaque pour être de la peinture, un sourire. Un long et grand sourire passant d'une joue à l'autre. Un sourire que même un humain ne pourrai reproduire.. à moins de se taillader les joues. L'homme n'avais pas bouger d'un pouce durant toute ma, longue, réflexion.. étrange.. Il semblait fixer un point derrière moi, je devina rapidement ce que c'était ; ma toile. Je mit donc un bras devant celle-ci ne voulant pas qu'il y touche, il sembla enfin s'intéresser à moi à la vue de mon bras. Il me fixait. Étrangement je n'avais pas peur, sûrement était-ce le côtés "artiste" de sa tenue qui me métait en confiance, après tout, ne dit-on pas que l'artiste est incompris et que seul un autre artiste peut le comprendre ?
Il fit donc son premier mouvement, il avança d'un pas, puis de deux, jusqu'à arriver face à moi. Inconsciemment j'avais laisser mon bras devant ma toile ou une peinture prenait forme. Un Nymphéas : noirs. Comme Monet avait peint ses nymphéa, sauf que moi je les peignait à la Fanette ou à la Stéphanie Dupain si vous préférez (Ref. Nymphéas à Noir, roman de Michel Bussi).
Il n'avait toujours rien dit et ne dit rien en prennant mon visage d'une main pour que je regarde en sa direction, il ne dit rien non plus quand il s'agenouilla devant moi. Il ne dit rien non plus quand il me planta mon couteau de peinture au niveau de mon cœur. Il ne dit rien quand il me regarda mourir. Il dit quelque chose lors de mon dernier souffle: "Il ne peut pas y avoir deux artistes incroyable en ce monde". Il ne dit rien quand il partit, me volant ma toile. Il ne dit rien en rentrant au manoir. Il ne dit rien en dormant et continuant sa vie la conscience tranquille sûr d'avoir fait une bonne action, à sa manière.

CreepypastaxreaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant