Colidron:L'attaque des planètes

Chapitre 3:le plan d'attaque

Aujourd'hui est un jour nouveau, comme je l'avais décidé hier, j’allais faire une rébellion. Je m'étais lever avec l'idée de dire à tout le monde ce qui se cacher derrière mes pensées mais le bouche à oreille était trop risqué.

J'étais debout et je mangeais du pain avec de la pâte à tartiner, ensuite j'été sorti de la maison pour aller dans un téléporteur qui m’envoyer directement à mon travail.

Mon travail comme les autres, consisté à fabriquer divers objets pour les gendarmes ou pour les espadions, nous étions leurs esclaves.
 
En me plaçant devant la machine que je devais réparer,j avais reussi à dire à mon ami Valentin qu il devait me rejoindre derrière la caravane pendant la pause et qu il devait faire passer le message a toute l'usine.

Plusieurs heures plus tard,c était enfin les 40 minutes de pose. En allant dans l espace libre de l usine,je remarquer que personne n etait dans la cour. Je pouvais donc être satisfaits de la parfaite communication qui avait eu lieu quelques heures auparavant, mais j avais quand même peur que nous nous fassions repérer par les gendarmes dû au manque de personnes dans la cour.

Même a 100 mètres,je pouvais voir et entendre les personnes qui y était,je continuer d avancer jusqu'à ce que j'arrive devant la caravane,je la contourné avant de me retrouver face à toute l'usine qui m attendais.

Ils ne savaient pas pour quoi ils étaient là et c est pour ça que je mettais empressé de leur dire. Tout le monde s etait tus et je leur avais dis que je voulais faire un plan qui se nommerais "le plan rébellion".

Beaucoup de questions était deja posé comme:

-c"est quoi ce plan ?

-c'est une rébellion?

-qu-est-ce qu on vas faire ?

Mais tous de suite je les avais fais taire en criant

-STOP.

Et j avais ensuite dis

-si on veux faire un plan,il faut que ce soit dans le calme et l écoute, et oui, c'est une rébellion.

La plupart des gens se regardaient droit dans les yeux d un air inquiétant,une grande mise en question se faisait a l'instant même.

-Je ne veux pas

commença quelqu'un

-moi non plus 

-moi aussi

-compter pas sur moi

Plein de prhrases se mélangée les une dans les autres,elle voulait tous dire la même chose mais de manière. différente. Et c est comme ça qu en moins de 5 minutes,les trois quart de l'usine avait laisser tomber le plan,sûrement par crainte que celui-ci ne marche pas,pourtant j y avais passer toute la nuit a planifier ce plan mais la vie ne se deroule parfois pas comme prévu.

J’avais réussi à faire en sorte que les autres reste pour mettre en marche ce plan, je leurs avaient donc expliquer pendant les 30 dernières minutes ce qu’on allait faire pour être libre de cet « esclavage ». 
Tout était prévu, tout le monde semblait avoir compris ce qu’il fallait faire et pourtant, personnes ne savait  ce qu’il se passerait si le plan marcherait.
Serons-nous libres ?
Serons nous tuer ?
Des questions mes aucunes réponses ne pouvaient être donné sans faire le plan exactement comme il était dit.

Le plan :

-Tout le monde sera à son poste sauf moi qui seras cacher dans mon coffre-fort, la personne qui aura les clés sera Marc. Au bout de plusieurs heures les gendarmes remarqueront sûrement mon absence et ils lanceront un avis de recherche dans toute l’usine.

Je resterais encore environs 2 heures et ensuite Marc viendra m’ouvrir en ne se faisant pas repérer par les gendarmes.
Les gendarmes eux, seront à ma recherche, il y en aura donc moins aux machines auxquelles vous travailler, et vu qu’il ne pense pas que l’on puisse faire une révolte, ils mettront les gardes les plus faibles pour vous surveiller.

Et là, vous attaquerez les gardes du plus fort au plus faible en vous jetant tous sur un puis sur l’autre etc.

Après vous ramasserez les équipements et vous les donnerez d’abord à Valentin, ensuite Marc m'ouvrira la porte du coffre pour qur j'en sorte et ensuite nous irons tous discrètement dans l'armurerie pour enfiler des armures invisibles à l'oeil nu.

-Et ensuite ?
-Ensuite, je gère.