V.

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Un jour, alors qu'on faisait l'amour, il m'a regardé avec des yeux pétillant, et le rose de sa peau à commencer à norcir.
Et puis au fur et à mesure, nous nous sommes arrêtés et il s'est mis à pleurer. J'étais sous le choc, mais je savais ce que je devais faire. J'ai collé sa tête contre ma poitrine, et je l'ai serré fort contre moi. Ses mains entouraient mon corps et il s'est collé tout contre moi.

"Je ne veux pas que tu partes" m'a-t-il dit.

"Non je ne pars pas je reste" ai-je répondu.

Il n'a rien dit pendant un moment et ses sanglots se sont stopés, mais il ne m'a pas lâché.
Nous sommes restés comme ça un moment, lui avec sa tête pressée contre mon coeur, et moi avec mes mains dans ses cheveux.

Je ne sais pas exactement si c'est à ce moment que j'ai commencé à changer d'avis. Mais la vision de cette aura noire autour de lui m'a profondément marquée.

En fait, tout comme la mise en place de mon plan, son désarmoçage s'est fait progressivement.

J'ai réalisé que ma souffrance le faisait souffrir, et que le meilleur moyen de le rendre le plus heureux possible, c'était de rester avec lui, de rester à ses côtés.

Mon RegardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant