À quoi tu pense, allongé sur ton nuage ?
À regarder le jour comme à caresser la nuit,
À jouer avec le vent et à bailler l'ennui.
À quoi tu pense, endormie sur ton feuillage ?Embrumer de tes songes, à enivrer tes mirages de minuit.
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Sur la pas de la porte, il y a les rayons de soleils qui sonnent.Ils sont bien matinales ceux là alors que la belle dort encore,
À dix heure du matin.Pourtant le pain est chaud et embaume déjà la maison,
Les marchands s’installe, et boivent déjà un petit canon.Les oiseaux roucoule, dans le pommier du verger,
Et le poulain trottine dans le prés d'à côté.Qu’es qu’elle attend la petite rousse pour se lever ?
N’a t-elle pas remarquer, que c’était enfin l’été ?______________________________________
J’entend encore l’océan qui se tapisse contre le sable et je sens encore le parfum de l’écume grelottant sur la crête de chaques vagues. J'aime tant l’air frais marin qui soulève mes long cheveux. Il frôle ma nuque et tente sans relâche de me séduire. Et il me séduit.Et le soleil s’entête à vouloir coloré ma peau nacrée. Tu es têtue soleil, va donc donner de tes rayons à la mer.
Laisse moi donc m’allonger et me noyer chez le voisin de cette dernière,
Laisse moi donc respirer un peu, le bleu mystérieux du ciel.______________________________________
La nuit vient tard le soir maintenant, mais on entend toujours les grillons, les feux d’artifices, et le vent qui se faufile par la fenêtre. Et derrière la fenêtre il y a la nuit estivale qui est des plus envoutante.Elle est pour moi une pièce de théâtre bien particulière, que j’aime regarder pendant des heures.
Mais elle se joue un peu de moi cette farouche. Elle me berce jusqu’à tard en me contant sa romance interdite avec le jour.
La nuit est si maligne dans son cardiguan d’étoiles, elle ne me laisse même pas l’admirer de tout son long. Quelle prétentieuse...
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{Mes pages}
PoesieJ'ai décidée de publier mes petits mots, à savoir mes poèmes. J'écris sans règles de versifications particulière et je laisse libre ma plume, elle écrirat ainsi comme bon lui semble... Il y aura donc ici que des poèmes, des poèmes sortient de mon im...