Page 1 : À mon être spécial

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J'ai pu entendre ta voix d'ange, dans le lointain de mes rêves,

Et j'ai esquissée ton beau sourir, pour gommer les cauchemars et les fantômes de mes nuits.

Je m'apprêtais à tomber une nouvelle fois, dans le vide éternel de la mélancolie,

Je descendais, une par une, lentement, les marches blanches de la dernière condamnation,

Mais tu m'a blottit avec élégance contre toi, espérant que les étoiles flottaient à nouveau au fond de mes yeux,

Et tu a poser tes lèvres sur les miennes. Berçais d'un tendre baiser, tu attendais que mes larmes de haines et mes cris de détresse, deviennent enfin, le tintement d'une charmante mélodie

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C'est sur les montagnes au loin, que je contemple un regard bienveillant, ce regard sage qui m'apaise,

Celui qui se pose au dessu de l'ange déchu, d'une femme cherchant simplement son réel.

Il est un obstacle dans les méandres de ma mémoire,

Celui qui fige le temps pour me laisser me noyer dedans.

Il rayonne comme l'éclat d'Orion, dans les terreurs de mes nuits,

Il est comme la douceur d'un fin nuage aux ailes d'or.

Il est un monde simple dans lequel j'aime me réfugier,

Un monde plus vaste encore que celui de mon esprit tromper.

Une inspiration sans fin, aux proses que j'ose écrire...

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Et un jour on se dira, que demain renaîtra sous un soleil pourpre.

On marchera sur les longues plage de cette longue vie,

À travers les limbes de l'oublie, nos mains entrelacées ensemble.

On regardera ce ciel rythmé par ses nuances de bleu,

Ce ciel qui c'est depuis longtemps allongé au dessu de nos corps.

On reverra d'un monde nouveau, où chacun de nos rêves verra le jour,

Un jour plus beau encore qu'hier, mais bien moin satisfaisant que demain.

Car demain, au loin je le vois, je le vois nous sourire, et nous tendre à nouveau la main.

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Son corp est comme l'astre Roi qui gravite à côté de nous, il est si chaleureux quand ses bras s'enlacent autour de ma taille,

Et ses mains, ses mains qui parcourent doucement mon dos, elles métamorphes mon corp, je frissonne, je rêve que cet instant soit capturer et se prolonge.

Et doucement, ses mains qui remonte jusqu'à ma nuque puis mes longs cheveux qu'il aime sans cesse ébouriffer,

Il me déstabilise tellement, ses yeux sont d'un mystère envoutant, je les aimes, et je n'ai aucune envie de m'y échapper.

Et puis il y a chaque details de son visage que j'aime analyser, ses lèvres fines et légerement rosées, sa machoire si bien tracées, ses petites tâches de rousseurs,

Et son corp, celui avec lequel j'aime me blottir et sentir la finesse de ses courbes et la force de sa carrure.

Et nos deux corps enfin épouser qui se frôle, nos mains mélanger, nos regard croisés, et nos lèvres émantés.

Il n'y plus que nous, et le reste de côté.

{Mes pages}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant