Chapitre 1

68 5 0
                                    

J'avance la grande allée de pétale de rose rouge, ma traine me suis de prés derrière moi, mes mains tremblent, je sers encore plus fort mon bouquet d'iris. Au loin, je vois le visage de Stanley, il sourit et semble heureux. J'arrive à sa hauteur mon sourire toujours dessiné sur mon visage, j'attends un compliment de sa part. Il commence à ouvrir la bouche mais ses paroles ne sont pas celle que je voulais .

- Ton reveil est en train de sonné. Dit- il d'une voix lente.

-Quoi ? 

Au loin j'entends une alarme, le son est atroce ça ressemble à une corne de brume de bateau mais d'où je suis je n'entends jamais les bateau alors, ça ne peux pas être ça. J'essaie de trouver d'où vient ce vacarme, ça y est je m'en souvient c'est le réveil de Stanley, mais pourquoi il ne l'éteint pas . J'ouvre avec difficulté les yeux et je me retourne vers le coté du lit de Stanley, il n'y a personne, je roule alors du coté froid du lit pour atteindre le réveil. D'un coup de main le son s'arrête et je commence à retrouver de l'audition. Je me lève avec un effort sur dimensionné pour le mouvement que je fais, je remets en place des mèches de mes cheveux qui me tombent devant les yeux, mes cheveux sont tellement long que si je ne les attache pas pendant la nuit je me réveille avec des touffes de cheveux emmêlé et partout sur le visage mais cette nuit l'élastique a disparu. Je décide d'aller prendre mon petit déjeuner, je commence le travail à 9 heures, je vois sur le frigo un mot certainement c'est le part de Stanley. Je me penche légèrement pour lire ce qu'il y a marqué : " Je suis parti au travail plus tôt, on se voit là bas. bisous". Bref et simple comme toujours, à force j'ai pris l'habitude et c'est devenue normal pour moi. Maintenant, il est temps de prendre le petit déjeuner, dans le placard du bas j'attrape un bol rose à pois blanc, c'est celui que je prenais chez mes parents, je l'ai ramené quand je suis allée vivre chez Stanley. Dans le placard du haut je prends des flocon d'avoine que je fais cuire dans du lait et du musli, je coupe un kiwi et une pomme, tout les jours je prends un porridge accompagnait  de fruit et de musli j'essaie de faire une jolie présentation pour me donner envie de mangé cette bouillie. Après avoir lavé mon bol, je prépare des affaires de travail, ma gourde d'eau, les dossiers que j'avais sorti hier pour travailler encore un peu avant que mon chéri rentre du travail et ma trousse d'école comme dit Pauline ma voisine de bureau. Je file ensuite dans la salle de bain, j'en sort dix minutes plus tard. Il est temps de partir au travail, j'ai toujours tendance à prendre le taxi car Stanley m'interdit le métro c'est "trop dangereux, c'est toujours les gens peut fréquentable qui le prenne" d'après ses propre mots, le taxi me dépose juste devant l'immeuble, c'est le bon point positif pour ma part. 


Le cowboy de mes rêvesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant