L'équation d'une rencontre

Caroline

Hello tata.

Tudo bem ?

Si minha linda e tu ?

Bon on parle français tata, je suis plus à l'aise.

Ça marche ma chérie, pas de soucis, je gère aussi le français.

Petite terrasse avec boisson fraîche avant de reprendre la route direction maison.

Odeur de la mer, soleil, hummmm ça sent les vraies vacances.

C'est ça ksé bon quoi.

Alors Caro voilà ta chambre, prends ton temps.

Ok tata, je défais ma valise, un douche et j'arrive te rejoindre au jardin.

Elle regarde autour d'elle. Que d'agréables souvenirs, et c'est pas finit.

Elle ouvre sa valise et regarde le désordre qu'il y a dedans, elle reste stupéfaite devant cette scène dont elle en perd la respiration.

C'est quoi ça ? Des caleçons de marque, des baskets taille 46, des jeans encore de marque, c'est quoi cette énorme CONNERIE.

C'est une blague, elle cherche également un indice et pas un papier rien qui puisse lui indiqué à qui appartient cette valise.

Elle appelle sa tante désemparée, qui va à sa rescousse très vite.

Regarde tata.

Je n'ai pas pris la bonne valise.

Attend voir, si l'étiquette porte bien mon nom, mais ce n'est pas mes affaires, se sont dès trucs de mecs, de plus taille 46 ou il est grand ou il pèse une tonne je ne comprend plus rien.

Chiotte de merde, je fais quoi maintenant ?

J'appelle l'aéroport ? Pour leur dire quoi ?
Ha oui ! Voilà je m'appelle... et je me retrouve avec des affaires de mecs, mais c'est quoi ça ?

Ils vont me prendre pour une folle.

Attend !! Oui il y avait cette grande perche à Orly, nous avions la même valise je m'en souviens, à tout les coups c'est lui qui c'est planté, putain un obsédé, il l'a fait exprès, ça se trouve il s'excite avec mes affaires cette enfoiré.

Bon je fais quoi maintenant ?

Attend Caro, je te prête le nécessaire, tu prends ta douche et nous aviserons.

Et merde il n'y a qu'à moi que ça arrive cette merde.

À suivre