Au départ il m'énervait,
j'avoue que je le fuyais.
Un chevalier servant, non, mais puis quoi encore ?
Je suis Zelda, les Sheikah sont mes gardes du corps !
À présent il ne quitte plus mes pensées,
lui qui m'a tant surveillée, et même sauvée.
Il m'accompagnait partout où j'allais,
même pour prier aux sources, où j'échouais.
Jamais il ne s'est lassé, me protégeant de sa vie,
jusqu'à son tout dernier souffle, il en fit le pari.
Et à la toute fin, c'est de lui dont je me suis éprise.
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Poèmes Legend of Zelda
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