Bien avant que j'eus réalisé, ils étaient déjà tout près. Ils nous attendaient derrière la porte. Puis soudainement, j'entendis un bruit sourd étouffé par les épais murs qui nous entourais. Un obus venait de s'écraser à quelques lieux de où nous étions. La peur était maître, elle était partout et nous guettait. Tout à coup, nous entendîmes des coups de poing puissants s'écraser sur la porte. Ça commençais, la conscription. Les soldats entrèrent dans la maison brusquement et escorta de force les hommes vers les camps retranchés .On pouvait percevoir des gémissement de femmes et d'enfants qui soufraient. La peine de chacun était palpable. Elle laissait sur son passage une atmosphère sinistre. Ce fut la dernière image de désolation que je vus. Par la suite nous marchâmes un long moment, moi et d'autre homme au destin aussi funeste que le mien. Tous avec une mine désolante. Nous embarquâmes sur un bateau de guerre très imposant juste après avoir récupéré nos uniforme et notre équipement. L'embarquée se fit dans le plus grand calme. Non quelle était plaisante, loin de là. Je dirais seulement que toute l équipage était pensive. Moi même je pensais à ma femme et mes enfants que ne reverrais pas, enfin, je continus d'espéré que ces pensées funestes n' étais que le fruit de mon imagination .
On nous demanda de nous diriger vers nos chambres car le voyage prendrait plusieurs jours. Ma chambre se situait tout au fond de l'embarcation. On m'avait placé avec trois autres hommes de la compagnie: Willson, Clark et Mattiew. Avec sans trop de conviction nous nous serrâmes la main et nous saluâmes poliment. La chambre était d'un silence écrasant. On pouvait percevoir dans ce silence quatre respirations rapides et anxieuses. L'atmosphère était insupportable alors je décidai de faire un petit tour du bateau histoire de me changer les idées. L'air était fraîche et cela me provoqua un petit frisson, il y avait également une petite odeur saline, ce qui était parfaitement normal pour un bateau. Il y avait un long et large couloir qui coupait à travers le bateau. Les murs étaient métalliques et d'un grisâtre rouillé. L'air renfermé et la valse des vagues qui faisaient bouger le bateau me fit perdre mon équilibre et de violents mals de cœur me pris, suite à ces symptômes je décidai de monter à toute vitesse sur le pond sentant que la nausée prenait le dessus, je ne voulais créé un ruckus près des chambres à un heure pareille, cela m'aurais causé bien plus d'ennuis et d'embarras.Pendant ma course, j'eu le temps de me munir de mon parka, rendu sur le pont, je m'emmitoufla dans celui-ci. Je me sentis beaucoup mieux. Le ciel au crépuscule, les étoiles scintillantes reflétant dans l'eau obscure, la vue était magnifique. Je restai là un bon moment et épia les alentours. J'étais surpris qu' on nous aient acctoyé une embarcation de haute classe pour de simples soldats, bien que que je ne m'en souciât guère dans l'immédiat. La nuit s'annonçait paisible et calme, dans ces conditions Il m'était impossible de ne pas sombrer endormi.
Cette nuit sur le pond à ciel ouvert,je dormis à poing fermé jusqu'à ce qu' à ce que je sois réveillé par les bruits matinales de l'équipage. "Ai-je vraiment sommeillé sur le pond ?" Et bien personne ne daigna me prêter attention donc je doute que cela ait poser problème. Je sautai sur mes deux pieds et descendis en fond de cale, rejoignit ma chambre afin de changer mes vieux vêtement de la veille et remonta afin de prendre mon petit déjeuné. On nous servit un plat modeste et typique de navire de guerre: du gruau. J'ignore pourquoi mais depuis toujours j'eus repoussé cette mixture. Cela devait être du à sa texture douteuse.Peut être avions nous érité d'un bateau fort agréable mais en revanche pour la nourriture j'aurais révisé les menus. Enfin bref avais-je réellement un mot à dire dans cette histoire.
Après avoir dégusté ce met savoureux* .On nous demanda de nous préparé pour un entraînement intensif afin de nous paré à cette bataille sanguine et explosive. Le gape entre celle-ci se rapprochais à une vitesse dont je ne pu exprimer avec des mots. Cette pensé me terrifia et me glaça le sang.(...)Heureusement , j'étais en forme,non d'une forme olympienne mais mon un père qui étais un travailleur inpecable, nous fessais travailler jusqu'à épuisement à la campagne.Lorsque l'argent ne rentrait pas comme il le souhaitais c'était la surexploitation assuré.Je ne niais pas que à cette instant je remercia mon défunt père pour cette expérience constructive.Même si après toute cette exercices j étais consterné d'admettre que j étais épuisé. Après avoir ingurgité un repas affable mais nutritif je retournai me coucher exténué.Les jours passèrent et j'avais adapté cette routine et étais devenu assez robuste.Dans le bateau Il y avais toujours cette atmosphère sinistre par contre à force de se côtoyer on pouvais sentir une certaine fraternité ce former entre Les soldats. Ce qui rendais le voyage légèrement moins amer et désagréable.