Chapitre 5

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Je me laisse tombée contre la porte d'entrée de la maison de Rachel. Je ne sait pas quoi faire,

 j'ai peur qu'il lui ai arrivée quelque de grave. Je ne préfère pas prévenir ma mère car elle serait

 capable de lancer un avis de recherche en prévenant toute la ville. Le dernier jour de l'année ne 

pouvait pas aussi mal se terminer. 

J'ai donc une idée qui traverse l'esprit. Je vais aller chez leur voisins pour leur demander si ils 

n'auraient pas vue la famille Cavalli aujourd'hui.

Je me lève et me dirige vers la maison d'à côté, une charmante petite maison avec à l'entrée, un 

parterre de fleurs multicolores.  Je n'hésite pas une seconde et toque à la porte. Je doit attendre

 quelques secondes qui me paraissent des heures en attendant que les voisins arrivent. 

J'ai du mal à réaliser quand la porte s'ouvre. Je voit fasse à moi un garçon musclé, le type de 

garçon que l'on ne voit que dans les magazines de modes, avec un bronzage parfait, qui me

 regarde et qui attend que j'ouvre la bouche. Le vrai badboy. Sauf que ce garçon n'est pas un 

inconnu. C'est Cameron. Je remarque peu de temps après que je fixe ses abdos, 

tellement bien dessinés. Il me regarde d'un air intrigué, mais je n'arrive pas à faire une phrase 

correcte dans ma tête. J'en oublie même ce que je voulais dire. Il prend la parole en premier :

- Salut, tout ... tout va bien ?

- Heu .. heu ... oui bien sûre ! Enfin non ... J'ai un gros problème.

Ses sourcils se froncent et je voit qu'il commence à s'inquiéter.

- Vient, rentres tu m'expliqueras à l'intérieur ce qu'il y a. 

Je le remercie et je rentre. Je suis vraiment gênée de rentrer chez lui, surtout que je le connaît à 

peine, mais j'ai vraiment besoin d'une personne qui pourrait m'aider. 

Il me dit de m'installer dans le salon, sur un magnifique canapé en cuir blanc en forme de U.

Je l'entend qui monte les escaliers, et je décide d'examiner un peu la pièce. Elle est  très 

lumineuse avec deux grandes baies vitrées donnant sur le jardin, où on peut voir une piscine

 creusée, pas très grande mais assez pour accueillir un petit groupe d'amis.  Ce salon est très 

moderne.

Je l'entend descendre et je me calle au fond du canapé, prête à tout lui expliquer. 

Quand il arrive au salon, je remarque qu'il a enfilé un tee-shirt. Dommage parce que ça ne 

m'aurait pas dérangée de le voir torse nu. Mais que-ce que je dit, il faut que je me calme moi ! 

- Tu veux boire quelque chose ? me demande-t-il avec gentillesse.

- Oui je veut bien s'il te plaît.

Il part à la cuisine et en revient quelques minutes plus tard avec un verre de coca dans la

 mains. Il me le tend et je lui en remercie.

Il s'installe à côté de moi sur le canapé et me demande de lui expliquer ce qui me tracasse. 

Le Choix FatalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant