Mon témoignage

Pourquoi je suis devenu chrétien, voilà les véritables raisons

Il y a un Seul Dieu, et aussi un Seul médiateur entre Dieu et les
hommes : (non pas la vierge, ni le pape, ni les saints, mais :) Jésus-Christ homme. 1Timothée 2 :5.

J’étais fermement convaincu que le Pape était le successeur de Pierre, et le vicaire de Christ, comme l’enseigne l’église catholique. Né dans une famille catholique, je m’étais proposé d’être pour toute ma vie un fils dévoué du pontife romain, « le saint père ».

Je vénérais la vierge comme tout bon catholique. J’étais défenseur et partisan de la récitation du rosaire, et aussi propagateur des messages de
Lourdes et de Fatima. Aujourd’hui, connaissant la Parole de Dieu, je sais que les apparitions de Marie ne sont que des tromperies diaboliques, destinées à égarer les âmes, et à les empêcher d’entrer en contact avec la vérité, c'est-à-dire l’Evangile.

La deuxième lettre de Paul aux Corinthiens 11:14 nous enseigne comment le diable agit : « puisque Satan se déguise lui-même en ange de lumière...» (Lisez aussi 2Thessaloniciens 2:9-12).

La vierge qui apparait ; et qui communique ses messages à Lourdes, à Fatima et partout ailleurs, n’est pas l’humble Marie mère de Jésus de l’Evangile.
En tant que catholique pratiquant, j’avais été formé dans le système catholique rempli d’erreurs, et j’avais confiance au magistère ecclésiastique qui se proclame infaillible. J’avais une connaissance tordue des Saintes Ecritures et «...étant moi-même égaré, j'égarais les autres.. » 2 Timothé 3:13

Je recevais les sacrements et j’y recourais. Malgré cela, j’étais au fond de moi-même très insatisfait ; il me manquait le don le plus précieux que Dieu offre à l’être humain, la certitude de la vie éternelle par la foi au sacrifice de Jésus- Christ.
Les citernes crevassées des sacrements ne pouvaient pas me donner l’eau de vie qui me manquait.

Les vérités fondamentales de l’Evangile concernant le salut offert gratuitement à tous, à travers l’œuvre parfaite accomplie par le Seigneur Jésus- Christ sur la croix, sont d’une clarté cristalline.

La théologie catholique accepte la doctrine du salut par la grâce, mais elle la complique, et la rend obscure
arbitrairement.
Dans l’église catholique, le salut s’obtient à travers les sacrements gérés par le magistère. Il faut le mériter, en participant aux rites sacrés, en observant les commandements, les préceptes de l’église, et en faisant de bonnes œuvres.

Un catholique ne peut jamais être sûr de son salut eternel, et même s’il meurt en paix avec Dieu, selon l’église catholique, il lui reste à expier une peine plus au moins longue dans le purgatoire.

A travers la Messe, l’église catholique prétend renouveler le sacrifice de
Christ, ce qui est contraire aux vérités fondamentales de l’Evangile.
Selon l’Evangile, « Christ s'est offert une seule fois pour toute pour porter les péchés d'un grand nombre »Hébreux 9:28 .

Le catholicisme est un système doctrinal perfide, bien plus diabolique, qui retient des millions d’âmes captives « par la philosophie, par une vaine tromperie, s'appuyant sur la tradition des hommes et non sur Christ» Colossiens 2:8.