Poète, songe-creux, foule les jours moroses !
Méprise cet épieu qui te sert d'aiguillon,
Sans jamais retenir le sang qui fait les roses,
Quand le soleil de Dieu t'a percé d'un rayon !FINI !
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FLEURS DÉMENTES
PoesiaBrutale floraison d'un instant qui flamboie, Donne à l'affamé clandestin Qui cherche dans la nuit la rime d'une joie Le mépris souriant de l'idéal festin Et l'oubli du bonheur lointain !
L'Infini !
Poète, songe-creux, foule les jours moroses !
Méprise cet épieu qui te sert d'aiguillon,
Sans jamais retenir le sang qui fait les roses,
Quand le soleil de Dieu t'a percé d'un rayon !FINI !