Arrivé en bas je tire mes chaussures et tout le monde sait que marche a talon haut dans le sable c'est cassé gueule. Je sens que le sable est encore chaud, les vagues sont magnifiques et le soleil encore haut dans le ciel alors qui est 19:52, le vent chatouille ma peau et je me demande que sera fait.
Au bout de 20 minutes, je m'assois sur le sable et je regarde le paysage qui m'entoure. La maison de mon père au loin, a ma gauche rien mais on peut appaire ce voir la ville, derrière moi une maison ou un entrepôt qui était au pied de la plage et devant moi un... un mec. Déjà je m'en remet pas de ma rupture avec Calèbe, mais là c'est un spectacle qui arrive vers moi. Le haut de la combinaison est rabattu sur ces hanches, son corps est bronzé et on peut voir des tablettes de chocolat, de long cheveux blond et un visage à fondre.
Bon Nalia, tu ne vas pas donner l'impression qu'il te plaît même s'il est beau gosse! Oublie d'abord Calèbe et on voie après.
Il passe prêt de moi, il m'a regarder un peu en passent. Soudain, mon portable sonne, c'était Karila une pote qui est aussi ma maquilleuses pour les films Marvel.
Karila: J'appris que tu es partit de chez toi! Tu es où ? Je peux venir te voir ?
Me: si tu veux faire 18:56 de route, alors viens ! Je suis chez mon père à Englewood, mais surtout ne le dit pas à ma mère ou à quelqu'un qui peut lui dire, ok?
Karila: T'ES aussi loin ?!? ET CHEZ ton père ?!? Et promis je ne dirai rien et je viens de voir le reportage, c'est vrai pour toi est Calèbe ?
Me: oui, parler plus de lui
Karila: oh! Je dois te laisser ! Je vais en réunion. On va savoir où il va être tourné !
Me: tu peux demander au chef si tu peux filmer pour moi?
Karila: oui et je pense qu'il sera d'accord, par contre je lui dis quoi s'il me demande si tu joue?
Me: tu lui dis que cela dépendra du lieux et de la date
Karila: ok 😘
Je remis mon portable dans la poche, au même moment j'entends une voix derrière moi.
- Mlle. Miller? Vous devriez rentrer, à c'est heure là la plage peu être dangereux. Je me retourne vers mon interlocuteurs, c'est le surfeur au abdos magnifique
- je vois que mon nom est marqué sur mon front.
- c'est normal, euh... vous avez que je vous ramène ? Me demande-il
- je suis pas très loin
- mais c'est dangereux de laisser une femme rentrer seule.
- je suis jute là-bas. Je monte là maison de mon père.Il écarquille les yeux
- vous loge chez papi surfeur ?!?
- papi surfeur ?!?
- oui Etienne FurstIl insiste pour que pour qu'il me ramène et je cède, il m'aide à me relever et me dit de le suivre. Le jeune homme mystérieux entre dans le bâtiment avec une plaque où il est inscrit « SUMMER Blue!!! ». Il me dit de l'attendre ici, je regarde la pièce dans les moindres détails. Les blanches de surf posent sur un support en bois, deux canapés en tissus bleu avec une table basse avec une veille blanche de surf en bois, un bar tout en bois mais de différente couleur, les portes de vestiaire et le mur de l'entrée sont blanc avec des cadres .
C'est des photos de compétition, il y a sur toute les photos mon père et Alex, soudaine je reconnu le garçon mystérieux. J'entends des bruits de clé derrière moi, c'est lui
- tu reste te là a regarder des anciennes photos où je te ramène? Me demander t'il
Soudain je vois des clés avec un porte-clés SUMMER Blue !!!, c'est donc Matt
- non non, je te suis... Matt. Et j'appuie beaucoup sur le Matt
Une fois dans sa voiture, il me demande
- comment tu connais mon nom? Je suis aussi connue que ça ?
- ça va les chevilles ? Je lui dis en ricanant
- elles se porte à merveille! Me répond-il d'un ton joueur
- c'est que en arrivant, tout à l'heure Alex a dit au "papi surfeur" que Matt avait les clés du Summer Blue. Donc j'ai déduit que tu étais Matt.
- bien, bien. Je suis impressionné Mlle Miller
- au s'il te plaît appelle moi Nalia, je déteste mon nom de familleIl démarre et il me conduit chez mon père, sur le trajet il me pose plein de question.
- Alors... tu habite où? Ça fait combien de temps que t'es là? T'a quelle âge? T'es une vrai rousse, tu porte des lentilles de couleur vert ou tu as rien modifié ? C'est chiant quand tu as des fans hystérique qui te suivent par tout où tu vas?
-Alors je vis à New York, je suis arrivée ici à 18h45. J'ai 20 ans bientôt 21, je suis une vrai rousse au yeux vert et oui C'est chiant !On continue de parler de tout est de rien, je vois qu'on arrive chez mon père. A 100m de la maison je vois mon père et Alex sortir de la maison. Il coupa le moteur, il lance les clés à Alex, alors que mon père se jette dans mes bras. Matt écarquille ces yeux, il se dirige vers nous. Mais mon père me dit plein de phrase
- mais ça va pas de partir comme ça! Alors que tu connais pas les lieux!
Matt nous sépare très rapidement
- mais Etienne ! Ne la toucher pas comment ça ! Vous savez qui c'est!?!
Il me regarde comme si il n'avait pas compris se qu'il a dit
- il est pas au courant? Me demander mon père
- j'ai eu mis ce détail
- de quoi je ne suis pas au courant?Mon père me met à côté de lui avec son bras sur mon épaule et il le regarde
- le dit pas que tu tombais Alex?
- non mais sa va pas ?!? Crie Alex
- comment je pourrais sortir avec mon géniteur ? Je demande à MattJ'ai cru que ces yeux allait sortir de leur orbite, il pointe mon père et moi du doigt.
- son géniteur! C'eSt ta fille et toi ton père !?!? Je tombe sur le cu.
On parle pendant des heures car, Alex lui a proposé de rester quand je n'avais pas manger mon dessert. Une fois qu'il est parti je me suis juter sur mon lit. Mais impossible de dormir, j'ai peurs de refaire mes cauchemardes et je préfère ne pas regarder les nouveautés sur internet.
Je regarde mon portable, Karila m'a envoyé la vidéo de la réunion. Je démarre la vidéo et au bout de 30min, je sais que sa sera tourné à Tampa le 06/09 et on recevra le texte dans deux semaines. Je décide d'envoyer un mail au chef pour lui demander de m'envoyer le texte ici.
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Blue heard
Teen FictionNalia est une actrice et top modèle très connue, mais le jour de sa séparation dans journalistique, Paparazzi et les cameraman l'on filme et prise en photo et toute sa réputation est remise en cause. Mais la chose qui fait déborder le vas ça été la...