chapitre 11

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La magnanière dont elle a dit m'ont fait frissonner, il y avait de l'inquiétude dans sa vois mais aussi et surtout de la peur. Je commence à ralentir ma respiration et à serrer la main de Diana car oui moi aussi j'avais peur.


Toujours cacher dans la grotte j'entends pour commencer quelques bruits de pas, surement des éclaireurs et quelques longues seconde plus tard ce sont plus quelques personnes qui marchent mais une armée. Une vingtaine, non, une cinquantaine de ces créatures, ils sont une cinquantaine à pourchasser cinq adolescents complétement perdus, blesser et effrayer.

Il fallut quelques longues minutes pour que ces bruits cessent, les plus longue et angoissantes minutes de ma vie jusque-là. J'ai compté deux-cent pas afin d'être sûr qu'ils étayent parti. Sans qu'aucun ne parle on se regardé, on sait tous ce qu'il faut faire, quelqu'un doit aller vérifier s'ils sont bien partis. Personne ne bouge, je prends mon courage à deux mains et décide de me lever mais je sens un poids au niveau de mon bras droit. Diana.

Elle me tire vers le sol pour me faire asseoir, je la dévisage d'un regard surpris. Alors elle se décide à son tour de ce lever, automatiquement sans que je comprenne ce que je fais, je fis le même geste qu'elle il y a quelques seconds.

Sans que l'un de nous veuille lâcher l'autre, on se tire mutuellement, trop occuper à tirer Diana vers le sol je n'ai même pas remarqué Nico qui c'était décider de se lever. Alors on se fige tous et on regarde notre ami s'approcher doucement de la sortie de cette grotte. Je n'ose même plus respirer. Une fois dehors Nico mis quelques seconds avant de nous faire un signe pour dire que tout aller bien.

J'ose enfin respirer et me relève doucement comme si j'avais peur qu'ils ne m'entendent et aide Diana à faire de même. Une fois que tout le monde sortit de la grotte on vérifie une dernière fois les alentours et c'est à ce moment que je me rends compte que nous sommes perdus.

On n'a pas de carte ni boussole, je croise le regard d'Armand et le vois fouiller dans son sac, il en sort un petit objet métallique, je mets quelques minutes à reconnaitre l'objet, c'est une boussole.

Sans me poster aucune question, je suis très rassurée du fait qu'il en possède une sur lui, ça veut dire que tout n'est pas perdue, j'espère que Nico sera se repérer avec celle-ci. Armand tend la boussole à Nico qui la prend avec une peu d'hésitation, pas très sûr de lui. Il commence à regarder le ciel qui est cacher par les branches des arbres, ce qui veut dire qu'il ne pourra pas se repérer en fonction du soleil. Puis il regarde la boussole et déglutis durement avant de montrer une direction avec son doigt. Peut-être a-t-il trop peur pour parler ou trop sous le choc ?

En tout cas il n'ose pas dire un mot, on le suit silencieux également surement n'avions-nous pas assez de force ou de volonté pour le contredire. Au bout d'un certain temps de marche silencieuse, on arrive enfin vers la route, hésitant on ne se rapproche pas trop de celle-ci.

Alors on a préféré suivre la route mais toujours en restant entre la forêt et celle-ci, une heure déjà que l'on marche et toujours pas de bruit, personne qui parle, c'est peut-être mieux ainsi ? Au fur et à mesure qu'on avancer, le béton au sol devenait de plus en plus vieux, usées jusqu'à ce que la route disparaisse pour laisser place à un petit chemin de cailloux.

Alors seulement on va sur celle-ci, haletant, essouffler, on continue à marcher jusqu'à arriver devant un petit super marcher, on décide de rentrer dedans afin de reprendre des provisions, c'est moi qui ouvris la porte de celui-ci pour rentrer.

Une fois à l'intérieur, je sens mes pupilles se dilater à cause de l'obscurité, je vérifie que les autres ont suivis du coin de l'œil. Je me mets automatiquement à chercher un interrupteur ou quelque chose du genre afin d'allumer la lumière. Tout d'un coup j'entends un mouvement de clés et m'accroche par réflexe a la main de celui qui est derrière moi et sens qu'il en fait de même sûrement aussi surpris que moi.

En moins de trente secondes mes pupilles se retrouvent maintenant inonder de lumière, plissant les yeux je me tourne tout d'abord vers la source de ce bruit et aperçois le visage de Diana, Audrey et Nico plier en deux, en train de s'empêcher de rire, un détaille au quel je ne fais pas attention pour le moment et vois que Nico avait trouver comment allumer la lumière, un problème en moins.

Maintenant que j'ai identifié d'où venait la lumière, je prête un peu plus d'attention à leurs visages et je me dis : " Attend une minute, si Diana, Audrey et Nico sont en face de moi ça veut dire que j'suis en train de me tenir à .... Armand ! Burke !!!"

Enlever moi ce parasite !!!

<<Lâche moi microbe ! cira-Armand

-C'est plutôt à moi de te dire ça parasite ! criai-je à mon tour

-C'est bien mignon tout ça les garçons mais ... vous vous ferez des papouilles plus tard la faux se bouger ! dit Diana entre deux fous rires

-Burke !! protestai-je en cœur avec Parasite

-Allez j'ai un mauvais pressentiment à propos de cet endroit ..., dit Nico

-C'est qu'un super-marcher tu sais, dit Audrey en mettant une main sur sa hanche

-On se sépare, Audrey et Nico ensemble et les deux tourtereaux, dit Diana

-Pas question de me coller parasite, je me mets avec toi le parasite pourra se débrouiller tout seul, dis-je en serrant la mâchoire

-Hawa vous vous donner des surnoms c'est mignon ! dit Audrey

-OK vous n'avez qu'à y aller a trois c'est tout, dit Nico >>

J'allais ouvrir ma bouche pour protester mais il ajouta : <<Sans commentaires compris ? >> Alors pour simple réponse j'hoche la tête.

C'est comme ça qu'on c'est retrouver a trois dans le rayon de chips entrains de chercher notre bonheur, Armand et moi sur les côtés en train de se foudroyer du regard et Diana entre nous qui nous lancer des regards pour nous dire : " Ne me cherchez pas !"

<<AAAAAAHHHH>>

C'est un cri aigu et strident, Audrey.

<< JE T'AVAIS DIS QUE J'AVAIS UN MAUVAIS PRESSENTIMENT !!! cria-Nico

Alors je vis Diana partir à toute vitesse vers la ou provenais ces cris, suivit d'Armand et moi. En arrivant sur place je vis Diana et Armand s'arrêter net et regarder quelque chose tétaniser et quand je suis arrivé à mon tours à leurs hauteurs moi aussi je me suis arrêté net.

<<Quel horreur ... murmurai-je >>

Voilà pour ce chapitre (957mots) et je suis désolée pour l'attente, j'espère que vous n'étaient pas trop impatient et que vous n'avez pas oublier l'histoire. A bientôt pour le chapitre 12.

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