Part of me

Chapitre 27

Hello tout le monde 🤟🏼
Me revoilà avec un très très long chapitre, qui j'espère, me fera pardonner de mon énorme absence. Mais entre les vacances et mon déménagement, je ne savais plus où donner de la tête 😅. Quoi qu'il en soit, il ne reste plus que deux chapitres avant la fin de cette fiction (awh...) MAIS je travaille déjà sur un deuxième tome so... DONUT WORRY! 🍩

Comme je ne sais pas quand est ce que la suite arrivera, je vous invite à aller lire la petite nouvelle que j'ai posté. Elle est assez courte et surtout terminé ! J'ai mis énormément de temps à l'écrire avec mes amies, j'espère qu'elle vous plaira...🙌🏼

On attendra bientôt les 38k et je voulais simplement vous dire merci ! ♥️ Merci pour vos vues et pour les nombreux messages. Cela me fait énormément plaisir !

Trêve de bavardage 😂 Je vous laisse avec ces près de 77200 mots ! Profitez-en ! Jocker2007 et Horsy_14, c'est pour vous 😜

N'oubliez pas la petite étoile et le petit commentaire 🙊✌🏼

Bonne semaine, à bientôt et zoubi ♥️

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~ PDV Clarke ~

- Comment allez vous, mademoiselle Griffin ?

Comment j'allais ? Que répondre à cette question ? Physiquement, j'allais parfaitement bien. J'observais le psychologue scolaire me fixer de ses petits yeux marrons. Laissez moi vous remettre le contexte à jour. Un peu plus de trois mois s'étaient écoulés depuis l'attaque du Homecoming. Et à notre retour au lycée, nous étions devenus les « survivants » de cette tragédie. Les gens s'étaient mis à s'inquiéter pour nous, nous soutenir. C'était pour cela que le proviseur, Mr Pyke, nous obligeait à aller voir ce psy. Pour nous « soutenir ».

Le psychologue jouait avec ses lunettes de vue, attendant visiblement ma réponse. Mentalement alors ? J'en avais aucune idée. Pourtant tout se passait bien, à quelques éléments près.

- Je vais bien. Mes amis vont bien, ma petite amie va bien, ma mère aussi d'ailleurs. Je vais vraiment bien !

- En êtes-vous sûre ? Me demande t-il.

- Évidement ! Pourquoi insistez-vous ?

- Parce que vous triturez vos mains. Et en tant que psychologue, je sais que ce tic signifie que le patient est perturbé, dérangé par quelque chose.

Effectivement, je jouais nerveusement de mes mains, et cela inconsciemment. Je m'arrêtai net et les cachai sous mes jambes, les mettant ainsi hors de vu du psy. Je comprends Lexa désormais: les psychologue sont flippants à vous observer, à vous analyser de la sorte.

- Tout va bien avec Lexa ? Vous êtes vous récemment disputées sur un sujet qui vous a plus ou moins contrarié ? Me demande t-il alors, reprenant son stylo en main afin de prendre note.

- Quoi ? Non! Tout va bien avec Lexa, trop même...

Après l'accident, Lexa était moins souvent partie en voyage d'affaire, voulant restée près de nous. Du moins, seulement pour le premier mois. C'était géniale de l'avoir pour moi dans ce moment de réintégration. Elle nous a été d'une grande aide à Octavia et moi. Surtout émotionnellement de mon côté. Une certaine tension sexuelle entre la Woods et moi était née depuis. Nous ne pouvions rester dans une pièce seules.

- Que voulez vous dire par « trop même » ?

Sa voix me ramenait sur terre. Que voulais-je dire par cela ? Tout simplement que je ne pouvais plus me passer de sa peau chaude contre la mienne. Je devais constamment savoir où elle était, ce qu'elle faisait. C'était devenu un besoin. Lorsque j'étais loin d'elle, comme à cet instant, j'imaginais toutes les choses que je pouvais lui faire. Caresser ses longues et douces jambes, goûter à sa peau exquise. L'embrasser comme si ma vie en dépendait. J'eus soudainement chaud, des images de ma petite amie et moi faisant des choses pas très catholiques me venant en tête. Moi la planquant contre un mur ou une porte, ses yeux vert luxurieux me brulant la peau, son corps bougeant au rythme du mien, la musique Sleepover de Hayley Kiyoko résonant autour de nous. Oui, j'adorais cette image d'une Lexa parfaite et épanouie.