Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
[ Le flot de la Tristesse au Bonheur ]
[ Chapitre V ]
Plongeons dans ce dernier chapitre, merci à tous d'avoir lu jusqu'au bout et dites-moi vos prochaines idées sur une nouvelle histoire !
Après avoir retrouvé Hyozan, Sayugi essaya de parler avec cette dernière qui ne disa toujours pas un mot. Huika les attendait devant la porte de la classe, Sayugi prit la main de Hyozan pour savoir ce qu'elle cache. Mais Hyozan cria "Lâche moi s'il te plait", Sayugi lâcha sa main surprit avec tremblement. Huika devenait en colère, elle qui était de fort caractère et n'aimait pas attendre, parla avec une voix femme et dur à Hyozan. La voix disait "Que t'arrive-t-il ? Dit nous la vérité !". Pour Sayugi s'exprima en disant c'est quelque mot "Arrête de tout prendre pour toi et parle nous !".
C'est simple mot résona dans la tête de Hyozan, la cachotrie avait assez duré ... Les larmes sur son visage commencèrent à couler. Les pendules et l'horloge tournaient sans arrêt, l'histoire commença ! Les aiguilles de l'horloge tournait dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Le câble qui retenait les émotions éclata, laissant derrière, une vu manifique et splendide sur un ciel multicolore et calme. Hyozan s'écroula sur le sol, sans doute de fatigue. Sayugi ayant le réflexe de la porter à l'infirmerie tout de suite remarqua qu'elle portait un livre dans sa poche et voyait le premier mot "bonheur". Huika courru aussitôt derrière Sayugi.
Une fois arrivé dans l'infirmerie, Sayugi enfonça la porte, Huika parla de la situation à l'infirmière, une personne de fort caractère mais qui peut parler de manière calme et reposer. L'infirmière comprit la situation et affirma qu'il ne s'agissait que d'une simple fatique. Hyozan se réveilla après ce dernier mot et reprit connaissance, l'infirmière voulait appeler les parents de Hyozan, mais cette dernière se relava brusquement et frappa le téléphone qu'avait dans la main l'infirmière. Hyozan ne voulait surtout pas prévenir ses parents. Sayugi tente de comprendre la situation ...
Huika sortie de l'infirmerie fait signe à Sayugi et Hyozan de venir avec elle. Tous les trois quittèrent la pièce et s'installèrent dehors. Sayugi entra dans le vif du sujet et expliqua que pour lui aussi son passé est difficile mais il n'a pas perdu espoir et parla avec ses amis pour qu'ils l'aident. Quant à Huika, elle détacha ses rubans de ses cheveux pour les donner à Hyozan. Huika expliqua que c'est signe de cadeau entre deux personne qui se font confiance. Hyozan respira profondément et expliqua la situation ...
Le passé de Hyozan était dérible, ses parents la frappaient tous les jours si elle rentrait tard le soir. Pour eux rien ne doit être en retard sinon ce sont de mauvaise manière. Mais faut-il frapper pour faire comprendre à une personne une chose ? Les larmes de Hyozan exprimaient tous ses sentiments. Sayugi pleura à son tour, mais cette histoire n'est pas terminée. Hyozan se souvient de ces années, puis les années d'avant dans ce lycée. Ce lycée qui représente un véritable combat chaque jour, et chaque minute. Les élèves qui étaient eux aussi dans sa classe l'année dernière l'embêtaient de plus en plus. Jusqu'au jour où elle se faisait maltraitée tous les jours par tous les élèves. Pourquoi faisaient-ils cela ? La réponse était absente ...
Puis Hyozan raconta le passage avec Sayugi la nuit dernière. Il n'était pas très tard mais quelque élèves surveillaient toujours Hyozan. Mais depuis que Sayugi était à ses côtés personne n'approchait. Hyozan parla de cette nuit où elle s'est retrouvé seule une fois Sayugi partit, sur c'est simple mot, il comprit tout de suite là et ce rappel des paroles de Mayuri. Ce mot était "Ne me met pas des bâtons dans les roues", il partit donc rejoindre l'entrée de l'établissement. Sur ces paroles, Huika comprit à son tour et demande à Hyozan de suivre Sayugi. Il y avait des élèves qui sortaient car la sonnerie avait déjà retenti, parmi les élèves, il y avait Mayuri, Romashi et Komushi. Sayugi était arrivé et cria fort le prénom de "Mayuri !!!!".
Cette dernière fut surprise et se retourna immédiatement. Puis tous les élèves aux alentours aussi. Sayugi attrapa Mayuri par les épaules et lui donna un croche pied, cette dernière tomba sur le sol. Romashi et Komushi étaient deux frères, ils attrapèrent Sayuri puis essaya de lui donner un coup de poing au visage. Hyozan arriva sur les lieux avec Huika et cria "STOP". Mayuri était toujours au sol et essaye de relever. Quant à Sayugi, il comprit que Mayuri était la personne qui embêtait toujours Hyozan. La simple expression sur son visage réflétait la colère. Hyozan avait peur de dire aux autres que l'on lui faisait du mal. Donc pour ne pas blesser son entourage elle restait muète.
Romashi et Komushi aidèrent à relever Mayuri puis les trois parties en courant en oubliant sur place leurs sacs de travail. Sayugi disa en criant très fort, "Ne revenez plus jamais embêter mes amis". Tous les élèves autour restèrent immobiles, pas le moindre mouvement mais juste des tremblements. Hyozan ne savait plus quoi dire et ne savait plus quoi faire, cette situation était inhabituel pour cette dernière. Huika, expliqua avec quelque mot que les amis de confiance sont ceux à qui nous pouvons faire confiance.
L'horloge s'était arrêtée puis commença de nouveau à tourner dans le sens des aiguilles d'une montre. Pour Hyozan ce moment qu'elle avait attendu était enfin arrivé, des amis qu'elle rêvait d'avoir, la découverte du bonheur pour Hyozan était simplement le fait de découvrir des amis et de retrouver cette situation familiale d'autre fois. Une vie simple et émouvante, les mots peuvent parfois aider des personnes mais les gestes sont parfois aussi preuve de la vérité.
À la fin de la journée, les trois amis riaient pour une nouvelle air, celle du Bonheur. Le temps passa, le groupe de Mayuri ne recommençait plus à embêter des personnes, pour eux, la leçon avait été prise. Quant à Sayuri et à Huika, il décidera de parler aux parents de Hyozan pour qu'elle retrouve sa liberté et son bien-être. Ces derniers comprisent et pleura devant leur fille pour ne pas avoir remarqué tout ce qu'ils faisaient. Durant ce temps, le visage de Hyozan affichait enfin quelque chose d'agréable, de beau et de magique. Ce qu'on appela "Un sourire".