Aurevoir

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Tout le monde m'attendait devant la chambre.

"Tout va bien. Vous n'aurez pas du venir surtout toi William tu n'aurais pas du faire tant de kilomètres, mais merci."

"Je m'inquiétais pour ma sœur et puis ma nièce a une appendice et tu ne me le dit pas?Arrête de croire que tu es toute seule." Il mit son bras au dessus de mes épaules comme il est plus grand que moi."Je n'avais pas d'argent pour venir et j'en ai pas non plus pour rentrer. 120$ ça ira"

"120$?"

"Il y'a le taxi, le bus et tu ne vas pas me laisser voyager en classe économique?"

Je lui tendis 75$, mais Odell lui donna exactement ce qu'il avait demandé. Je refusa et regarda mon frère pour qu'il décline, mais il m'ignora et remercia Odell. Je salua chacun avant de me diriger vers ma voiture.

Je vérifia que Saïdanne était bien attaché après qu'Odell l'installa.

"S'il te plaît soit prudente."

Il s'approcha pour m'embrasser, mais quand j'entendis "M.beckham is she your girlfriend?" Je recula. Je vis des caméras et je tenta de rentrer sous les flash aveuglant.

...

📞

"Je ne veux pas que notre relation soit exposée. On est bien comme ça." Dis je.

"Vous avez l'air proche. On vous voit vous tenir la main. De toute façon mademoiselle, il a répondu ce matin à une journaliste." Me dit Raye

"En ouai?"

"Je suis plus à l'affût que toi Mme Beckham. Il a dit qu'il t'épaulait dans une situation difficile, mais certains se souviennent de toi à cause de TMZ. " Après une courte pause elle  ajouta "tu aurais du nous dire à propos de Ladji. Céphée est très fâché contre toi .

"Moi!? Il faut qu'elle grandit. Elle est fâché parce que j'ai été l'une des première à le savoir et elle la dernière."

"On sait toute les deux que ça fait très longtemps qu'elle envie votre relation, mais tu aurais pu nous lancer sur une piste. "

"Si elle veut me parler, elle c'est où me trouver."

*Knonck Knock

"On se reparle après.On cogne."

"Oui"

Je ferma mon ordinateur et alla ouvrir la porte. Je du l'attraper pour qu'il ne puisse pas tomber. Son teint était pâle et ses yeux étaient éteint. Un sourire triste et un câlin fade m'avait accueilli. C'était bientôt la fin.

J'aida Ladji à s'installer sur le canapé et lui servi par la suite un verre d'eau. Une fois que je fis assi, il me dit d'une voix calme qu'il voulait que je fasse son éloge funèbre. J'accepta avec une boule dans la gorge. Celui-ci commença à me parler de ses funérailles, mais je l'interrompis pour qu'il me raconte ce qu'il avait fait ces derniers jours.

Il me raconta comment il profitait de sa maladie pour éviter de payer des factures ou encore avoir accès à certains privilèges. Il avait souri quand il m'avait parler de la fois où Céphée avait essayé de lui préparer un plat, mais avait à la place failli brûler la maison. Il me raconta combien elle lui faisait du bien. On finit ensuite par se remémorer des souvenirs jusqu'à ce que Saïdanne vienne nous rejoidre au salon. Elle s'assit direct sur les jambes de son tonton et commença à jouer avec ses tresses.

Let It HealOù les histoires vivent. Découvrez maintenant