Le soleil sur mon visage me rappel à quel point j'étais bien sans toi
La petite lueur dans tes yeux malins me donne maintenant envie de vomir
Tes mains autrefois si douces sont maintenant rugueuses et portent la marque de ma joue
Je ne m'avoue pas vaincue, non
Même si je sais que c'est fini, je te cherche dans les ruelles les plus sombres
Je n'ai plus peur de toi, mais mon corps oui et j'en souffre
Je me lève la nuit pour respirer
Mon corps se souvient des moments où tu m'en empêchait
Mais maintenant je me lève debout et crie
Je crie à tue-tête pour me libérer de toi
Pour te prouver que je suis libre
À toutes ces femmes emprisonnées
Levez-vous et criez
Et vivez.
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Mes petits écrits
RandomIl n'y a pas de suite, simplement mon imagination farfelue, mes poèmes ou mes textes divers.