5-Les camps

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Sébastien se réveilla dans une salle avec des murs marron châtaigne et un toit refermé par plaque de métal.
Il hésitait entre détruire les murs avec des boules de feu ou se transformer en dragon pour tout détruire.
Il décida d'utiliser des boules de feu.
-Le prisonnier est là? demanda un humain.
-Oui.
-Bien rompez.
Ces voix intriguèrent le dieu, qui avait un peu peur de ce qui allait lui arriver.
Un homme a bonne musculature rentra dans la pièce par une trappe du toit. Il avait des cheveux châtains et des yeux rouges. Pour Sébastien, il ne représentait ancun danger.
-Nom?
-Qui êtes vous ?
-Je vous ai poser une question, minable! s'énerva le geôlier.
-Moi de même je crois.
-Ne faite pas le malin je pourrais vous faire guillotiner sur le champ.
-Eh bien faite le, s'amusa Sébastien.
-Ah vous voulez ?
-Oui!
-Gardes! appela l'homme.
Aussitôt des gardes descendirent par la trappe avec une échelle.
-Ligotez le.
Sébastien n'eu pas le temps de réagir qu'il était déjà incapable de bouger ses trois bras. Il fut trainer en place public où se tenait une étrange machine qu'il ne connaissait pas.
Une sorte de rectangle en bois debout avec une lame qui n'attendait que tomber pour décapiter quelq'un(une guillotine). Elle était déjà pleine de sang. Dessus, il y avait des trais dans le bois sans doute pour compter le nombre de personnes mortes là.
On plaça la tête de Sébastien sur le bas de la guillotine, qui en profita pour mémoriser les paysages.
-À mort! À mort!
criaient des soldats.
Un homme en noir arriva avec un petit couteau pour faire une autre marque sur le bois.
-Une dernière parole?
-Oui.
-C'est tout ?
-Non.
-Autre chose? s'impatienta le bourreau.
-Pourquoi ces questions débiles?
-Souvent le condamné veut dire une dernière phrase.
-À mort! cria un spectateur.
Le bourreau s'apprêtait à lâcher la ficelle qui tenait la lame quand Sébastien se transforma en dragon.
La guillotine fut détruite entièrement en propulsant la lame dans la foule qui avait été effrayé.
Le dieu repris sa forme normale et se mis en position de combat.
Des cavaliers arrivèrent et essayèrent d'attraper l'Hokou.
Ils se battaient férocement pour permettre aux autres humains de s'enfuir du camp.
Leurs corps tombèrent un a un au sol.
Le camp, qui avait été abandonné par les humains, était maintenant au libre service de Sébastien.
Il en explora tout les recoins pour finir par tomber sur un étrange médaillon. Il était écrit dessus:

J'apporterai la victoire de celui qui me porte pendant les guerres.

Il y avait un dessin dessus de deux armées qui se battaient.
-Je vais le prendre, se dit Sébastien a voix basse.
Il n'avait pas beaucoup d'expérience de combat mais s'il avait le médaillon il pourrait gagner.
En continuant de chercher il trouva une carte avec les emplacements des huit autres camp humains ainsi que la forteresse du roi.
Il parti aussitôt en direction du camp violet, qui, sur la carte, était le plus proche.
En quelques heures seulement, il arriva en haut d'une falaise. En dessous de lui se trouvait le camp violet. Il aurait voulu tuer tout de suite le roi qui avait ordonné la disparition de son peuple.
Pour détruire le camp il envoya une boule de feu qu'il fit grossir en l'air jusqu'a ce que elle atteigne sa taille de dragon.
Elle explosa avec un bruit assourdissant en plein milieu des tentes.
Il marcha jusqu'au prochain camp mais n'arriva pas avant la tombée de la nuit.
Il s'endormit et se réveilla au petit matin avant l'aube. Ce camp était rouge et beaucoup mieux protégé. Une boule de feu aurai fait l'affaire mais il décida d'utiliser ses bras lames pour avoir plus de plaisir.
Il détruit tout les camps mais ne pouvait pas détruire la forteresse seul.

Le SurvivantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant