Mes larmes coulent
Elles roulent,
Et tombe dans mon lac de tristesse
Qui ne cesse
De devenir un océan
Bien qu'il ne soit pas bien grand
Chaque soir il s'agrandit,
Pour tomber dans l'oublie,
Qui en fait de la pluie
Alors pourquoi s'étonner qu'il pleut autant ?
J'ai juste pris les devants
Mais peut être suis-je aller trop loin
Suivant ce chemin de fer
Où les trains passent
Je ressasse mes souvenirs une dernière fois
Et je vois
À quel point les choses changent,
Et à quel point
Elles n'évoluent pas qu'en bien
Car parmi ce doux parfum
Il y a la fin
De cette ère joyeuse
Pour devenir malheureuse,
Et sans fin cette fois-ci
La joie allant dans l'oublie
Qui cette fois,
L'emmènera dans l'enfer
Sous cette pierre rubis
Qui est en réalité
Une pierre de sang,
Sang qui est le miens
Venant de ce chemin infinis
Qu'est l'oublie.
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Poèmes...
Thơ caMes pensées volent, s'entremêlent, se fracassent, s'entretuent, me détruisent. Et quand la tristesse envahit mon cœur gris, j'écris mes larmes, en prenant soin de choisir les bons mots pour exprimer ma peine.