Les Larmes De Mon Assassinat_ T.1

Chapitre 7 : 2.3

J'aquiesca d'un signe de tête, et me fesa signe de la rejoindre :
- Je suis Hiyuri Dejuko, chargé par notre professeur principal d'emmener les élèves dans leur classe...
Elle continua de se présenté et à me donné des instructions mais je fixa Tomoe pendant ce temps la. Elle, regardait dans le vide mais quand nos regards se croisèrent, elle sortit de la salle et effleura l'épaule de Hiyuri, ce qui l'interrompi.
- Dans 1/4 d'heure, tu dois rejoindre cette salle, continua-t-elle.
Elle me tenda une petite feuille où était tapé à l'ordinateur plein de petits horaires et de nom de salles : un petit emploie du temps de la journée très cadré.
- Donc dans 1/4 d'heure comme je te le disais tu dois te rendre en 2.3, un étage au dessus de nous. Montes les escaliers et au deuxième coup de sonnerie rentre dans ta salle. Tu es une élève de 3A, donc, normalement il devrait y avoir une petite pancarte écrit "3A".
Une sonnerie retentit.
- Oulala! On est en retards ! Chizuku c'est bien ça ? Va dans ta salle, j'ai encore du boulot.
Elle s'essuya le front d'un revers de sa manche, poussa un petit souffle et s'en alla a son tour.
Je fixa le papier qu'elle m'avait donné, et après un court instant je décida de monter dans ma salle. Je sortis de l'infirmerie, j'aperçus deux escaliers a quelques metres de moi. Il y avait un de chacun de mon coté et pris, par hasard l'escalier se tenant à ma droite.
Je monta l'escaliers quatre à quatres, regarda quelques élèves de passage dans le couloir et aperçus à ma gauche la salle 2.6. Je m'approcha alors de la salle et vis à sa droite une nouvelle porte nommé 2.5, je continua dans sa direction pris une fois de plus à droite et vis enfin la 2.3.
J'entendis a nouveau une sonnerie retentire et, comme me l'avait indiqué Hiyuri, j'entra en 2.3. Je n'étais pas la seule, je vis une petite bande d'élèves et 2 ou 3 élèves en faire de même, l'un deux me sembla familier... C'est le garçon roux, que j'avais, il y a quelque heure, vu dans la cour, prétendant m'avoir sauvé.
J

e resta immobile, là, devant un bureau occupé par une fille bavarde, me n'adressant aucun regards.

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Elle devient froide,
glacée,
Douloureuse,
Devenant chaque seconde impénétrable
Me fisurant intérieurement.
Je crois que je sais,
je sais ce que sais.
Ne serais ce pas la...

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