On est samedi. Et au lieu de faire la grasse mat comme il était prévu je dois mettre mon réveil à 7h pour aller à mon heure de colle.
Je décide de rester en pyjama, la flemme prend le dessus de tout. Ayant traînée au lit je n'ai même pas le temps de prendre un petit dej.
J'allume ma clope et commence a marcher.
— Ash!
Je me retourne et vois le beau brun courir pour me rejoindre. Je continue ma route
— attend moi!
Il finit par me rejoindre, il se passe la main dans les cheveux et me regarde avec amusement
— tout le temps joyeuse dit tu ?
— tu vois pas que j'ai la tête dans le q alors que j'étais sensée me lever à 13h tu crois que je vais sauter de joie d'aller en retenue et de voir ta sale tête ?
Il rigole face a ma réplique
— arrête de faire semblant tu me kiffes avoues
— certainement pas un mec à meuf comme toi.
— oh ash et toi donc ? Comment te considère tu ?
Je fronce les sourcils
— comment ça ?— ashley ou la meuf sans sentiments qui fait tourner la tête des garçons. Ça te dit rien ?
— bon désolé ça ne me dit rien, c'est pas ma faute si les mecs de nos jours sont fragiles et oublie leur virilité quand il apprennent qu'à mes yeux ils ne sont que du vent. Ils veulent tous une relation exclusive, se que je n'offrirais jamais à personne. Je préfère vivre à fond quitte a faire du mal plutôt qu'on me fasse du mal.
Je marque un temps d'arrêt et je me rend compte que j'ai beaucoup déballé.
Peter me regarde attentivement— je comprend, finit t'il par dire, alors on se comprend moi aussi je suis dans ton cas je n'ai jamais été sérieux avec personne et je fais beaucoup espérer les gens pour au final ne rien donner et me barrer. C'est con comme comportement mais c'est comme ça, j'ai toujours tendance à fuir quand ça deviens compliqué.
— mais tu n'as jamais essayé de te poser sérieusement l'interrogeai je
— hm non jamais et toi?
— non plus je ne veux pas être dépendante de quelqu'un.
— je t'apprendrais à devenir dépendante de moi me dit il en me regardant
— c'est toi qui deviendras dépendant de moi le défiais je.
— alors on verras bien Ashley me souris t'il.
Mon ventre se met à gargouiller. Il éclate de rire et ouvre son sac. Il en sort une barre de céréale.
—tiens morfale
-merci dis-je doucement.
— et si on sécher l'heure de colle ?
— non je ne veux pas avoir d'autres problèmes tu m'en crée déjà pas mal lui dit je.
— froussarde, froussarde, froussarde t'as pas d'ovaires.
Je lui lâches un regard noir
— moi j'ai pas d'ovaires ?Je lui balance un crochet du droit dans l'épaule.
Il fait mine d'avoir mal
— oh non mon épaule, quelle puissance incroyable.
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Une histoire de cul
Novela JuvenilC'est fou comme tout peut se produire à partir d'un regard