" Ils arrivent. Je l'entend. Je suis pris au piège. Mais ils ne m'auront pas comme ça, non jamais, je suis le plus fort, et je suis le dernier. Je n'ai pas le droit d'échouer et de laisser s'éteindre la dernière des vies ayant lutté.
Je n'ai pas le droit. Je part, je me cache, mais un jour je reviendrai, je le promet, je reviendrai et je renverserai, seul s'il le faut, ce misérable gouvernement. Je le tuerai comme ils ont tué les miens. Je les piétinerai comme ils ont piétiné nos espoirs. Ce jour là, même le sang n'aura pas de prix, je laisserai ma vengeance couler hors de mon corps, et je les regarderai souffrir, un par un, comme ils le méritent.
Ils pourront me torturer, me pourchasser, me tuer, nous, les insurgés, les derniers des bataillons, les derniers des citoyens des murs nous survivrons.

Je le promet, je vivrai, et vous vivrez avec moi. Peut m'importe le prix, le temps et la douleur, je serai toujours là. Je survivrai, et vous survivrez à travers moi. "

" Voila.
- C'est tout ? La seule chose que vous ayez trouvé c'est ce carnet miteux et l'histoire de sa misérable vie ?
- On a rien pu faire Gab'. Quand on est arrivé il avait déjà foutu le camps.
- Porco, c'est le dernier. Dernier tu sais ce que cela signifie ? Souviens toi. À l'époque on avait tué la première au fusil. Et là, on tuera le dernier lentement, pour bien lui faire miroiter cette liberté qu'ils n'ont jamais réussi à garder.
- C'est cruel Gabi.
- Le monde est cruel. Il ont tué Reiner, et Leonhart quand elle est réapparu. Ce n'était pas cruel peut-être ?
- Si.
- Voila. Alors trouvez le. Je le veux à mes pieds.
- Gabi, c'est impossible. C'est Livaï Ackerman. Ils n'arriveront jamais à l'avoir. On parle de l'homme qui a survécu trois ans dans une cave, qui a tué la moitié de l'armée, qui menait en partie les troupes des insurgés. Il ne mourra pas Gab, et la révolution ne mourra pas tant qu'il sera là. "

La porte s'ouvrit en grand, laissant passer trois silhouette.

" Tu disais, mon cher Porco ? Je ne pensais pas que tu doutais à ce point. "

La jeune femme se tourna vers la plus maigre des silhouettes, qui paraissait comme morte dans la position qu'elle avait adoptée malgré elle au sol. Elle lui décocha plusieurs coup de pieds dans les côtes, jusqu'à entendre des craquements significatifs, ainsi qu'un cri de la part du prisonnier.
Elle le releva en le tenant pas le haut du vêtement miteux et approcha sa tête de la sienne.

" Heureuse de te revoir, Livaï. "

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Bon. Ben je vous laisse imaginer la suite !
Merci à tous les lecteurs, j'espère que vous avez apprécié cette histoire, j'ai vraiment adoré l'écrire, je compte faire une recorrection pour éliminer les fautes qui se baladent,
À très bientôt j'espère,
Constancecherr.

Ceux qui Marchent à mes côtés { Snk, Livaï }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant