Minaru

L'année de terminal

Notre années de première est très vite passé, pour moi ça a été la meilleur année de ma vie, elle m'a aidé pour beaucoup de chose, les études, la sociabilité et mon épanouissement. Grâce à elle, j'ai même réussi à avoir un petit copain, avant de la connaître, j'imaginais finir vieille fille, mais non. J'ai eu aussi mon bac de français au la main, grâce a son soutien et son aide pour étudier. Ce que je regrette, c'est que pendant les vacances d'été, je l'avais oublié, j'ai passer beaucoup de temps avec mon petit copain et elle, je l'avais complètement oublié. Ce n'est qu'à une semaine de la rentrée, que j'ai réalisé. Je m'en voulais beaucoup, j'ai voulu reprendre contacte avec elle, mais elle ne répondait pas. Alors j'ai attendu la rentrée avec une grande angoisse qu'elle me haïsse. Je m'en suis terriblement voulu, surtout qu'avec mon petit copain on avait rompu pour une histoire stupide.

Quand la rentré venu, j'avais les main tremblante, j'avais peur de sa réaction. Pourtant, elle est venu vers moi avec un grand sourire, elle était heureuse de me voir. Elle m'a prise dans ses bras et me serra avec le peu de force qu'elle avait. J'étais rassurée et je me suis excusée. Elle m'a dit que ce n'était rien et elle m'a demandé ce que j'ai fait pendant mes vacances, je lui ai tout raconté, mais quand je lui est retournée la question, elle m'a dit qu'elle avait fait plein de chose et qu'elle avait voyagé. Tout ce qu'elle me disait paraissait vrai, mais pourquoi au fond de moi je savais qu'elle me mentait. Je ne suis pas allée chercher plus loin et j'ai cru ses mensonges. Maintenant, je me rappelle qu'elle avait encore maigrit et que son teint était encore plus pâle que d'habitude.

Au cours de l'année, elle devenait de plus en plus mélancolique, plus triste. Elle me disait des paroles triste, mais si réaliste et une revenait souvent. « Tu n'es l'esclave que te ta propre personne, si un jour, tu devient esclave d'une autre personne, c'est que tu es devenu qu'un simple pantin au yeux de la société ». La première fois, qu'elle me la dite, j'ai été surprise et je lui demandais pourquoi elle me dit ceci, elle m'a répondu qu'elle l'avais lu dans un livre. Encore et toujours des mensonges.

Au mois de décembre, un jour avant les vacances de Noël, il c'était passer quelque chose. Elle m'a dit qu'elle était lesbienne et qu'elle avait de fort sentiments envers moi. Par là suite, elle m'a embrassé. J'ai été très surprise, même trop surprise, que je l'ai repoussé violemment en l'insultant des pires insultes inimaginable et je suis partie. Je me souviens que son baiser était rempli d'amour mais aussi de tristesse, comme si c'était un baiser d'adieu.

Les vacances de Noël passèrent vite, malgré qu'elle n'arrêtait pas de m'envoyer des messages d'excuses, mais je ne voulais pas y répondre, j'avais besoin de réfléchir. J'aurais dû lui répondre, j'aurais dû..

Quand la rentrée arriva, elle est directement venu me parler, elle voulait s'expliquer, mais moi je lui est mis une violente baffe et je lui ai dit que je l'a haïssais. C'était vraiment stupide d'avoir fait ça pour un malheureux baiser. Quinze jours passèrent et je l'ignorais toujours, je voyais son regards remplit de tristesse quand elle me regardait mais je n'en faisait rien.

Mais un matin, je l'ai vu monter sur le toit au vieux d'aller en cours, mais j'ai passé mon chemin, jusqu'à qu'une fille cris en voyant des gouttes de sang au sol qui traçaient le chemin de Minaru jusqu'au toit. Puis j'ai entendu des personne crier d'en bas du bâtiment. Alors j'ai décidée de monter sur le toit et je l'ai vu... Sur la rembarre de sécurité. Du sang coulait le long de ses avant-bras jusqu'à ses mains. C'est que j'ai réalisée qu'elle souffrait bien plus que moi. J'ai criée son nom et je lui est dit de ne pas sauté. Elle sait retournée vers moi et m'a fait son éternelle sourire qui m'avait charmer. Elle me dit : « Lindsay, tu as changée ma vie, tu l'as illuminée au moment où j'étais dans les ténèbres les plus totale. Je ne pourrais jamais te remercier pour tout se que tu as fait pour moi. Et même si pour toi, je ne suis rien, même si tu me déteste...Sache que je t'aime plus que tout au monde et rien pourras faire changer mes sentiments envers toi. Je t'aime Lindsay».

En entendant ses mots, j'ai senti mon cœur se serré. Je me suis mise à courir vers elle, mais elle se laissa tomber en arrière. J'ai crié son nom en tendant une main vers son corps tombant les cinq étages du bâtiments. En le voyant toucher le sol, j'ai descendu les étages a vivent allure en attendant les autres élèves criés d'effroi. Arriver dans la cours, à l'endroit où elle est tombée, j'ai senti mon cœur raté un battement, mon souffle était devenu haletant. Je me suis approchée de son corps étendu dans la neige glaciale où son sang se répandait petit-à-petit, et j'ai vu qu'elle avait gardée son sourire en tombant. Je tombais à genoux devant elle, je pris sont corps dans mes bras et la serra tellement fort. Mes larmes se mirent à coulait de plus en plus et c'est à se moments que je compris moi aussi, que j'étais tombée amoureuse d'elle, mais j'avais peur de me l'avouée. Je regarda son visage qui avait l'air si épanouit, je plaqua mon front contre le sien et lui chuchota, « Je t'aime aussi Minaru » et déposa délicatement mes lèvres sur les siennes. Je la serra encore contre moi et ne lâcha que quand les ambulanciers sont arrivés pour l'emmené à la morgue.

J'ai appris plus tard, que son père était extrêmement violent et sadique avec elle. Il l'a battait, l'a violait, il lui faisait des choses atroces. Pendant des nuits et des nuits, j'ai rêvée de lui faire la peau, d'aller vengée m'a bien aimée, mais la justice a fait sont travail. Pendant des mois, j'ai regardée des photos de nous, des vidéos, les trucs qu'on s'écrivaient. A chaque je pleurais en regardant le ciel en me disant que tu es mieux la où tu es maintenant et que tu me surveille de la haut.

Après ça, moi aussi j'ai voulu mettre fin à mes jours, mais je n'y réussi jamais, puis j'ai fini par grandir, rencontré des gens, fondé ma famille, vivre ma vie en gardant toujours une part d'elle en moi.