La Ville des Mercenaires

Chapitre 1, partie 2: Intronisation

Maintenant que vous faite partie d'un groupe de Mercenaire, tout ça en ayant rien dis et juste en montrant votre gueule, votre ego est aussi haut que vos espoir actuellement. Alors que vos trois nouveaux amis vous guide dans leur maison ... Si on peut appeler un container a moitié détruit une maison, mais bon, vous allez pas commencer a faire un commentaire a chaque habitation de la ville, vous n'en finirez jamais. Une fois a l'intérieur du container ( vous refusez d'appelez cette chose une maison ), chacun s'assoit sur un canapé cramé et ce présente. Le vieux commence:

"Je m'appelle Franck Kritzgrenauts. Expert des pistolets et des attaques rapides et destructrice, je frappe et je reçois le coup grâce a mon armure et mon casque !"

Cette armure et ce casque, vous l'avez clairement vu lors d'une expo de la Première Guerre Mondiale. Mais bon, "on fait avec ce que l'on a" semble être la phrase type de l'endroit et chaque seconde ici arrête pas de vous donner raison.

"Moi, c'est Dave O'Kaghram. Sniper du désert, véritable fantôme qui apparaît et disparaît aussitôt !"

ça devait être surement lui, toute les traces de douille perdu derrière une dune. Quand vous le pourrez, vous irez jouer au loto: vous venez juste de survivre au Sniper du Désert.

Un silence régna. L'homme en manteau noir a fourrure rouge ne dit pas mot. Alors qu'un silence lourd et gênant régnait dans la pièce, il tourna la tête, soupira et dit:

"Vu que je suppose que vous allez me fixer comme des abruti tant que je dirai pas mon CV, je suis Fox Deadlock, j'ai une faux et je suis fils de la mort"

Une fau-FILS DE LA MORT ? Oups, vous venez de criez ça fort

"Il me croit en plus". Vous avouez que vous vous sentez très con d'avoir cru ça, et ce sentiment est amplifié par les rires soutenu des autres personnes dans la salle. Définitivement, vous devriez arrêter de l'ouvrir quand il faut pas, vraiment.

"Bref, je suis le chef de la bande, ce qui inclut des règles:

n°1: On respecte les lois de la ville , donc si tu veux buter quelqu'un dans la rue, va te faire foutre pour qu'on t'aide"

C'est clair et honnête au moins, mais alors que vous vouliez dire quelque chose, il vous coupe la parole et dit

"n°2: Tu juge personne et sur rien, que ce soit la bande ou quelqu'un d'autre. Si tu t'amuse a crier des "pédales !" au milieu de la rue, tu peux t'assurer que je serais la pour te foutre une claque dans la gueule et une prise de catch pour te remettre les idées en place

n°3: T'a aucune autorité ici. Quelqu'un te dit de faire quelque chose, tu le fait. Mais si tu trouve que la demande te convient pas, par exemple "Suce moi" ou autre, tu peux contester et tu m'appelle. Compris les gars ?

-Ja

-Oui

-Bien, vous êtes bien docile, c'est admirable"

Alors que un "Ta gueule" aller sortir avec un naturel dissident, il vous recoupe la parole et continue

"n°4: Chez moi, c'est aussi chez toi, et chez toi, c'est aussi chez moi. On va pas commencer a faire les radins ou les réservé, et enfin

n°5: Evite de te faire buter, ça serrait dommage"

La dernière règle n'est pas forcément utile mais un rappel ne fait pas mal. Après quelque seconde, vous répondez un timide "Oui" qui semble passer pour vos interlocuteur. Dave dit alors:

"Mais il faut qu'il montre ce qu'il est capable de faire alors !". Des gouttes de sueur commence a couler de votre front: vous n'êtes alors, mais pas du tout ... MAIS PAS DU TOUT un guerrier.

"-Je vais lui faire passer un test au pistolet, vu qu'il en a un !"

Et fallait que ce soit l'expert en pistolet. Putain, tout démarrait très bien

Franck vous emmène alors dans l'arrière cours de la maiso-container, et place quelque cible

"-Tirez ! Je veux voir votre capacité"

Bordel, c'est la première fois que vous appuyez sur la détente. Mais vous devez le faire. Vous visez, avec le pouce pour vous protéger du recul et l'index sur la détente. Vous essayez pas trop trembler, vous retenez votre respiration. Vous déterminez le bout de viseur, et une fois le bout de métal bien placé, vous tirez. Droit dans la caboche de la cible. Alors que vous paniquez intérieurement, Franck ouvre grand les yeux, comme si il venait de voir quelque chose d'incroyable

"-C'est la première fois que vous tirez ?

-Eh bien ... oui"

Le discours habituel, "Et bien même ma grand mère ferait mieux !" ou une connerie comme ça. Vous en êtes sur

"Et bien, on dirait pas ! Vous avez fait partie de l'armée ?"

Vous ne vous attendiez pas du tout a ça. Pris au dépourvu, vous vous contentez de répondre:

"-Non

-De la police ?

-Non plus

-Un centre de tir ?

-Non

-Chasseur ?

-NON"

Franck est littéralement sur le cul. Et pour impressionner quelqu'un qui a mériter son titre, vous devriez être fier de vous, même si c'est la première fois que vous tirez. Un souffle de confiance en soi et de fierté vous envahi le corps.

"Vous faite partie de la bande, clairement. Vous faite partie de la putain de bande"

Et bien ... C'est une intronisation comme les autres, nan ?