𝐁𝐑𝐎𝐊𝐄𝐍 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐀𝐒𝐒。ʸʲᶦ ⁺ ᵇᶜ

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ACT I - BOYS DON'T CRY ✝

changbin + felix

Changbin traînait des pieds dans le corridor.

"- Tous des abrutis, soupira il."

Pour tout vous dire, Changbin n'était pas enchanté par le jeu révolutionnaire de Minho.
En fait, ne détestait pas seulement cette idée foireuse, mais plutôt la violence en général.
Et venant du chatain, qu'il n'appréciait guère, cela ne faisait qu'empirer les choses.
Il n'aimait ni Chan, bien que celui ci soit le plus modéré, ni hyunjin d'ailleurs.
Seulement, il était contraint de rester avec eux.
Pourquoi ?
Et bien comme évoqué précédemment, à cause de la chaîne alimentaire.

Changbin avait un Q.I au dessus de la moyenne, et même si il avait sauté une classe, il exellait dans toutes les matières.
Petit il passait son temps a étudier, sous ordre de ses parents qui refusait qu'il gâche son génie.
Sauf que quand on est renfermé, chetif et intello, on se fait rapidement emmerder.
Et ça le noireau l'avais bien compris.
Dès son entrée au collège il s'était mis sur la défensive, répondant m'échament et s'isolant le plus possible.
Ce petit manège avait durer un an, avant que hyunjin soit pris d'une soudaine envie de lui peter la gueule et ne lui retame la face a côté du local poubelle.
C'était au sol et l'arcade sourcilière en sang que le plus petit lui avait proposé un marché.
En échange de quelques médicaments aussi inoffensif que des malabar piqué dans les réserves de ses parents, il ferait parti de sa bande et se ferait ainsi respecter.
C'est ainsi que Changbin, lassé d'étudier, s'était retrouvé avec les brutes qui terrorisait les sixièmes.
Il avait conscience de la lâcheter de son acte.
Il tentait de rester fidèle a lui même et, exécrant la violence pour avoir entendu les souvenirs de sa grand-mère parlant de la guerre, il ne se battait jamais.
Enfin, jamais était un bien grand mot.
Disons que son environnement était propice au bagarre et quand la bande élaborait des sales coups (autres que de s'acharner sur les sixièmes) cela devenait hautement plus intéressant.
Le noireau pouvait alors laisser place a son génie, et aider des autres ils élaborait de véritables scénario, en dépit de la santé mentale du pauvre Georges par exemple.
Mais cette fois ci, changbin avait le moral dans les chaussettes.
Car il n'était pas non plus omnipotent, et la psychologie humaine était loin d'étre son fort.
Alors brisé mentalement un gamin qui n'a sûrement rien demandé, cela relevai plus du domaine de la corvée que tu passe temps.

"-On dirai une bête qu'on traîne a l'abattoir, railla minho, allez relève la tête et fait ton choix.

Mais changbin le l'écoutait pas, il se contenta de s'agenouiller et de mollement deverouiller son casier.
Il sorti son sac avec nonchalance et entrepris de le remplir d'affaires de cours plus ou moins utile.

-C'est vrai que tu vend de la drogue ?"

Si le noireau n'avait pas déjà été au sol, il serait sûrement tomber de surprise.
Une tête blonde venait de pénétrer son champ de vision (et son espace personnel par la même occasion), des orbes caramel était encré dans son regard.
Changbin tituba légèrement, fixant éberlué le garçon au pomettes parsemées de tâche de rousseur.
Quand il repris ses esprits, il réalisa les paroles du plus jeune et ni plus ni moins, l'envoya chier.

"-Retourne téter ta mère rase motte, marmonna t-il en essayant de dégager son vis a vis

Celui ci ne bronche pas et répondit avec tout autant d'assurance

-S'te plaît je dirais rien, je veux juste tester une fois.

Le noireau soupira
Si le blond n'avait pas été aussi énervant, il aurait sûrement eu un visage d'ange, mais pour l'instant, Changbin avait juste envie de l'étrangler contre le mur.
Il décida de l'ignorer et lui fit un signe dédaigneux de la main, mais le plus jeune se dressa de toute sa hauteur et tappa du pied sur le sol en se mettant a geindre.

- Écoute moi bien p'tit con, commença le brun visiblement excédé.

-Felix.

-M'enerve pas et déguerpi vite avant que je change d'avis merde !"

Félix se tu subitement en entendant le ton de son aîné et s'éclipsa sans demander son reste.
Changbin n'eu pas le temps de pousser un soupir de soulagement qu'il se rappella de sa promesse.
Il allait devoir faire chialer ce gosse plus collant qu'un vieux chewing-gum.
Le ciel lui tombai sur la tête.