Le Terrible Secret De Monsieur Anderson

Chapitre 6: Un rituel Pas comme les autres

Alors que je me vidais toujours de mon sans, Monsieur Anderson lui, continuait ses incantations satanique. Qui aurait pu imaginer un instant que ma vie allait tourner autour des faits plutôt horribles, invraisemblables et encore épouvantables? Mais là moi ,je voulais seulement sortir de cet endroit abominable. Comme toujours, Dieu ne peut d'empêcher de manifester ses bienfaits a son peuple. Tout comme le peuple d'Israël qui demandait désespérément de l'aide afin qu'ils puissent retrouver la terre promise. Eh bien moi aussi je poussai mes supplications a celui-ci pour que je puisse moi aussi être libre ! Finalement, la prière fut exaucée. Alors que je pensais qu'il n'y avait plus d'espoir, je vis Monsieur James, derrière un arbre. J'ai cru qu'il était de mèche avec eux alors, j'ai tourné mon visage vers un autre endroit comme si je voulais ne pas lui donner l'impression que j'avais besoin d'aide. Mais d'un signe de la main sur la bouche ,il me chuchotait a l'oreille.
<<Restez calme! Je viens vous sauver!>>

<<Euh quoi ? Vous n'êtes pas avec eux?>>( lui disais-je)

<<Euh eux? Qui ça eux?>>

<<Eh bien mes ravisseurs !>>

<<Mais devrais-je être de leurs côté ? C'est tout a fait absurde. Voyons !>>

<<Mais Monsieur Koffi et Monsieur Anderson sont tous les commanditaires de tous ces meurtres!>>

<<Ça ! Je le savais ! Mais je n'avais pas de preuve! Bon reste là! Je vais lancer les coordonnées de localisation et je reviens !>>

<<D'accord>>(Répondis-je)
Des qu'il se retira, j'entendis la voix d'un des quatre hommes me demander :
<<A qui tu parlais?>>

<<Euh personne>>

<<Ah Oui!? >>
Puis il se mit a vérifier derrière l'arbre. Moi j'avais vraiment peur qu'il retrouve James. Mais apparemment celui-ci a réussi a ce sauver a temps. N'ayant rien trouvé, il continua sa ronde avec les autres. Durant tout ce temps Monsieur Koffi et monsieur Anderson était a l'intérieur d'une tente. On aurait dit qu'ils préparaient encore un sal coup .J'ai aussi cru que mon sang allait se coaguler afin de stopper l'hémorragie, mais en vain, mon sang ne faisait sue couler. Plus le sang coulait et plus je devenais beaucoup plus faible. A présent que le récipient est totalement rempli, Le chef des trois hommes haussa d'une voix étrange en disant :
<<Le rituel est enfin prêt vous pouvez venir. Pour qu'on en finisse avec lui.>>
Ce qui fut très rapide. Après qu'il ait fini de dire ces propos, monsieur Anderson apparut devant moi. Il souleva le récipient, rapprocha de sa bouche et commença a boire. Cinq minutes (5 min) plus tard, il n'était presque plus lucide. C'est-à-dire qu'il n'était plus lui même, il avait du mal à être stable sur ses jambes, il bougeait sans cesse dans tous les sens. Alors il ordonna a ses hommes de m'envoyer dans un autre endroit de la forêt pour tuer. C'était très étrange ça! On aurait dit qu'il a reçu un coup d'éclair sur la tête qui le faisait complètement délirer. Jusqu'où le curiosité d'un homme peut l'envoyer. Effectivement! Là aussi je voulais savoir pourquoi ce dernier a presque perdu la tête simplement en buvant mon sang? Peut-être bien c'était la volonté de Dieu! Malheureusement, je ne pourrais pas vraiment trouver une réponse a cette question car deux hommes m'envoyaient a ma destination finale qu'était la mort et ou se trouvaient de nombres restes d'organes humains en décomposition avancée. Tandis que les deux autres sont restés auprès de monsieur Anderson, ils le vénéraient comme un dieu. J'attendais toujours la présence d'un ange libérateur. Encore plus étrange, l'acheteur était aussi a l'heure pour récupérer mes organes. Je me demandais bien ce qu'il pouvait bien faire avec ces organes une fois qu'il les avaient? Sûrement qu'il les revendaient par la suite dans des hôpitaux dans l'utilité d'avoir de l'argent. Durant tout ce temps , j'entendais monsieur Anderson et le fameux acheteur se mettre d'accord sur la vente de mes organes une fois que je serais mort. Là encore,je voulais a tout prix savoir qui c'était car j'avais étrangement l'impression que celui-ci m'était familier. Toutefois, je ne pouvais pas le justifier sans preuve.
Je fus tout de même intrigué par les propos de l'acheteur a monsieur Anderson :