Il est vrai que j'aurais aimé me marier avec toi, Ô mon Premier,
Car en réalité, on aurait pu jurer de s'aimer à tout jamais,
Espérant que notre Amour demeure jusque l'éternité,
De sorte à ce que même l'infinité ne puisse y toucher,
Alors étendue sur la pelouse, je contemple le ciel,
J'attends, rouge, comme toutes les autres fois,
Que tu reviennes à moi et que tu m'interpelles,
Pour qu'à nouveau je fasse de toi mon Roi,
Ainsi, des larmes caressent mon portrait,
La peinture coule sur mon nez,
Et le visage dévoilé,
Je l'admets :
Mon Premier est déjà passé. Alors la prochaine fois, je jure que lui et moi serons immortels, car à jamais je nous voudrai
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La nuit m'attend
Short StorySans arrêt, il m'arrive de stagner. Je prête oreille à la musique éplorée et mes pensées se laissent aller. Je suis alors figée dans mon lit. C'est dans ces moments précis que je m'assombris, ce sont ces instants que j'écris.
