Partie 16

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Chronique de Moh


Seizième Partie

Donc le medecin il arrive, il prend que les Parents de Ghazala avec lui il les ramène à son bureau on a pas compris pourquoi y'a fait ca ce hataye. Moha le frère à

Ghazala il c'est énervè contre lui il voulait le tepa au final il est rentrer avec ses parents.
Mohem on attend, pendant ce temps j'demande à Samir il c'est passé quoi. Il me dit:

- "Ché pas wolah c'etait vers les 2h du mat' j'etait zepo chez ma meuf & j'recoit un appel du fixe j'deccroche j'entend ma Daronne elle pleure & tout elle m'dit

d'rentrer vite j'vais à ma case j'voit y'a l'ambulance devant mohem c'est allé vite on a suivi en turvoi, mon rouille i ma dit comme quoi Ghazala elle a perdu

conaissance en allant à la cuisine pour boire & là t'as vu nique sa mère ca fait perpète qu'ont est là pas d'nouvelles!..."

J'lui dit que tout va s'passer InchAllah que c'est rien... Mais au fond comment j'etait mal wayaaw j'arrivait même pas à m'rassurait moi même. Mohem j'vais voir Leïla,

j'la prend j'lui dit:

-"Pourquoi j'suis l'dernier à être au courant, pourquoi tu ma pas réveillé?"
-Elle "J'ai pas dormi à la maison, j'etait chez ma shab Kamélia en m'reveillant l'matin j'ai vu v'la les appels manqués de maman, j'lai rappelé elle m'a expliqué et

j'suit direct partie à l'hôpital"
-Wam "Leïla sur le coran il lui arrive un truc j'devient ouf Leïla pourquoi ils tardent comme ca zeubi!"
-Elle "InchAllah kheir mon frère, je sait pas pourquoi ils tardent putain.."

Elle a pas finit sa phrase qu'ont voit arriver Moha, il avançer wolah cette image de lui elle est encore dans ma rass j'oublierais jamais il avancer en regardant par

terre & les mains derrière sa tête, y'avait un putain de silence il est arrivé à notre niveau il nous a regardait un par un & y'a dit : "La vie c'est une pute oe la

vie c'est une pute"

On a choquè parce-que y'avait mes renpas, les renpas à Amine aussi (Amine il était en Hollande il est parti voir Salma) et Moha c'est un ga trop respectueux wolah,

donc j'ai çu que ca devait être grave pour qu'il s'en balek de dire des trucs comme ca. & d'un coup y'a commencait à mettre des coups dans l'mur en moins d'deux le mur

blanc i c'est transformè en mur rouge sa mère! Il criait de rage il crié à fond, on le retenait mais walou y'etait devenu ouf truc de malade j'oublierais pas ca nan.

Y'avait même des medecins qui le retenait mais rien il crié : "Ma soeur elle mérite pas ça ma soeur zeubi c'est ma soeur sur le coran c'est ma soeur, j'vais vous

niquer laissez moi c'est ma soeur"

On comprenait rien, les medecins l'ont prit pour soigner sa main, personne parlait j'sait pas como vous expliquez tous l'monde était kecho en fait personne a cherché à

comprendre, en tout y'avait la famille à Ghazala, les renpas d'Amine, les miens, Leïla, Nawel & des autres shabes à Ghazala. Mohem on demandé aux infirmières des

nouvelles elle nous disait qu'elle savait rien ché pas quoi. Quand on voit le père à Ghazala arriver meskine il pleurait ouai il pleurait ca ma tué, mon père & celui

d'Amine on avancait vers lui il avait du mal à marcher je voyais ses fils le retenir, dire "Chkayaine Baba?" (Quesquia papa). Il s'asseoit et nous raconte ce que

l'medecin a dit...

Ghazala avait une insuffisance rénal chronique au stade terminal, c'est une maladie où y'a pas d'symptômes donc c'est chaud de la détecter au debut, Samir dit:

- "C'st quoi les traitements?"

Son père le regarde et dit:

- "Le traitement c'est la prière weldi, le traitement c'est Allah"

Quand il a dit ca wolah j'etait chamboulé, j'voyait Bilel il est sorti ge3, les Daronnes et les meuf pleurait tous l'monde était mal autour de moi, moi j'etait à

l'écart j'comprennait pas j'sait pas j'etait dans un autre monde, j'sort de l'hôsto j'avance y'avait un p'tit jardin j'commence à fumer et à penser pendant au moins

2heures quand mon phone-tel sonne, c'etait Karim j'repond il me dit:

- "Ouai frero t'es où?"
-Wam "J'sait pas wolah pourquoi?"
-Lui "J'suis avec Moha là c'est un truc de ouf meskina sa p'tite soeur. On m'a dit que t'etait là tout à l'heure, tu tient l'coup khouya?" (Karim il était au courant

que j'etait avec Ghazala il la considerait comme sa p'tite reuss wolah)
-Wam "Dit moi i s'passe quoi en sah j'comprend pas Krimo quesqui va lui arriver zeubi!!"
-Lui "InchAllah kheir frère, on vient d'sortir de l'hôpital là wolah elle avait le sourire aux lèvres Ghazala t'inquiète pas c'est une battante.."
-Wam "Elle c'est réveillé?"
-Lui "Oe on est tous rentré la voir mais là y'a que ses renpas avec elle, ils ont tège tout l'monde les medecins"
-Wam "Vasy ben j'veut la voir putain j'suis duper elle a quoi c'est quoi l'truc tah les reins là ché pas quoi"
-Lui "Va à l'hôsto y'a Leïla et la p'tite Nawel à la salle d'attente des urgences elles vont t'expliquer"

J'avance vers l'hôpital y'avait que Leïla & Nawel à la salle d'attente de tout à l'heure elles avait les yeux rouges de ouf! J'me zepo à côté d'elles Leïla m'dit:

- "C'est grave Mohamed.."
-Wam "Explique"

En gros elle avait donc une insuffisance rénal chronique au stade terminal, ses reins avaient arrêter d'marcher et y'avait pas de traitement qui la guerrit ils l'a

ralentissé seulement mais dans l'cas de Ghazala c'etait encore plus grave, tellement y'a pas eu de symptômes la maladie elle était arrivé au stade terminal sans

qu'elle ne s'aperçoive de rien zéh! Donc elle allait être mise sous dyalise & si ca donne rien il allait faire une transplantation rénal... & le Coran que si il le

faut j'lui donne mes 2 reins ge3!!!
Voilà nique sa mère, cette pute de maladie j'la connait par coeur tellement elle m'a ancule ma life! J'voulais voir Ghazala à tout prix, Nawel est rentrè, Leïla m'a

ramené à la chambre y'avait encore les renpas de Ghazala à l'interieur donc on attend devant la salle on avait disquètté l'infirmière c'etait une patch elle nous a dit

qu'ont pouvait rentrer en deusspi.
Mohem les renpas à Ghazala sortent de la chambre moi j'me suis retourné pour qu'ils me reconnaissent pas, j'entendait sa mère lui dire:

- "On arrive benthi hein, y'a Leïla avec toi hbiba..."

Mohem Leïla rentre, j'rentre après elle j'voit le visage de ma Ghazala elle était toute blanche toute fatiguèe mais le sourire aux lèvres, quand elle ma vu elle a

laissé couler quelques larmes, j'me suis avançait vers son lit je lui ai déposé un baiser sur le front, Leïla est sorti on était à deux...

Chronique de Moh : Pour toi Ma Gazela, mon coeur t'appartientOù les histoires vivent. Découvrez maintenant