Le début des lettres

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1er juillet 2006 :

Tout débute lors d'un agréable après-midi d'été qui semblait tout à fait banal au premier abord, les oiseaux chantaient gaîment percher sur quelque branche, le soleil brillait fortement dans le ciel ,baignant le sol de ça chaude lumière alors qu'une légère brise venait caresser les feuilles des arbre les faisant légèrement dancer sur sont passage, tout le quartier était plus ou moins calme, hormis les quelque aboiement des chiens du voisinage on pouvait distinguer de nombreux rire d'enfant provenant du parc qui se situer dans la rue en face du poste de police, ainsi que les discutions animé des parents.

Nos deux jeunes protagonistes, Allyson et Laetitia qui commençaient tout juste a prendre leur service, se gare sur le parking réserver au  poste de police avant de sortir de leur véhicule n'oublient pas par reflexe et habitude de vérifier a plusieurs reprise que le vehicules etait bien fermé.

Sereinement elles se dirigent vers l'entrer du  bâtiment, saluant sur leur passage de nombreux collègues, tout en prenant le temps de discuter de leur week-end respectif face a la machine a café une tasse fumante à la main, avant de prendre la direction de leur bureau.

Arrivée sur place, Laetitia s'affale de tout sont poids sur sont siège avant de tenté de trouver une place sur sont bureau anarchique, pour poser ça tasse de café, mais s'en grande réussite, elle décide finalement  de l'installer sur une pile de document qu'elle jugée moins important que d'autre, Allyson quant à elle de sont œil aiguisé et surtout aider par sont caractère maniaques contrairement a ça coéquipière, aperçoit rapidement une lettre au coin de son bureau bien ordonnée.

C'est une petite lettre d'une belle couleur rouge sang ou il étais simplement et soigneusement écrit sur le devant en lettres manuscrite : "Pour Allyson et Laetitia" .

Intriguée et se demandent qu'elle collègue aurais pu le leur écrire, elle appelle rapidement Laetitia, tout en essayant d'ouvrir délicatement la lettre sans abîmer le contenue, laetitia perdant patience a ses coter le lui arrache sans délicatesse l'enveloppe, se demandant ce qui y était inscrit sur la lettre.

"Chères Allyson et Laetitia, vous ne me connaissez peut être pas mais moi je vous observe en silence chaque jour.
Vous vous demandez sûrement qui je peux être, pour le découvrir, voici le jeu auquel nous allons jouer.

Je vais purement et simplement commette de nombreux meurtres. Pourquoi vous prévenir et vous contacter? Tout simplement parce-que le jeu n'en serra que plus amusant, d'après ce qu'on dit: plus on est de fous plus on rit !

La veille de chaque meurtre que je commettrai, je vous enverrez une énigme. Vous devrez deviner où je suis, à quelle heure et sur qui je commettrai le crime, mais surtout, le plus important: qui suis-je?!

Pour cela, voici votre première énigme:

Du haut de mes 12 mètres, on m'entend sonner toutes les heures.

Vous me trouverez à l'heure où le soleil sera au plus bat à l'ouest....TIC TAC TIC TAC, dépêchez vous le temps passe " CXXXC "

«-Est-ce-que quelqu'un pourrait me dire qui a posé cette lettre sur mon bureau?! S'écrit Allyson à ses nombreux collègues alors qu'elle se tiens a l'encadrement de la porte.

-Quelle lettre?! Questionne l'un des agents.

-L'enveloppe rouge vif, celle-ci. Précise-t- elle en montrant la fameuse lettre.

-Non, je pensais que tu l'avais sûrement oubliée, elle était déjà là quand je suis arrivée. Ajoute l'un des agents .

-Comme par hasard, personne ne sait rien. Lance Laetitia d'un ton neutre.

-Au pire laissons tomber, ça doit être une mauvaise blague. Dit Allyson .

-Ouais, tu as sûrement raison, ce n 'est peut être qu'une mauvaise blague au goût douteux. Approuve Laetitia

Après ce court échange, elles décident tout de même de placer la lettre en lieu plus ou moins sûr, soit dans l'un des tiroirs de leur bureau, tout en se demandant quel esprit tordu a bien pu la leur envoyer, sachant que se n'est pas la première qu'elle reçoivent.

La suite de la journée se passe dans une routine bien orchestrée, elles remplissent un nombre incalculable de paperasse, ensuite vient la pause déjeuner animée par des discutions a droite a gauche, puis deux ou trois arrestations sans grand intérêt et pour finir le retour de la paperasse puis leurs fin du service.

«-Enfin fini, je n'en pouvais plus. Dit Laetitia tout en s'étirant faisant craquer sont corps sous l'effet de l'effort.

-Ouais, j'en peut plus je suis a boue se force. Réplique allyson s'étirant elle aussi. »

Après avoir saluer leurs collègues qui finissais en même temps qu'elles, elles se dirigèrent d'un pas lent et lourd vers leur véhicule, n'ayant qu'une hâte, se coucher dans leur lit bien douillet, après un bon repas ou du moins après une bonne pizza bien chaude commander chez leur pizzeria favorite en bas de leur rue bien trop fatiguée pour cuisiner quoi que se sois.

2 juillet 2006 6h30 :

A l'extérieur le soleil et encore bas dans le ciel, alors qu'il commençait tout juste à se lever éclairants lentement le paysage, se qui contraste parfaitement avec l'intérieur du bâtiment ou les rideaux et volets sont fermer se qui contrairement a l'extérieur plonge l'appartement dans Le noir le plus total.

On peut y entendre simplement, le doux son du mécanisme de l'horloge ainsi que le bruit de deux respirations qui se suive, doucement rejoint par le chant de quelques oiseaux a peine audible.
Tout est calme, baigner dans une atmosphère apaisante, quand le son agaçant d'une sonnerie de téléphone se fait entendre, brisant le silence.

«-Laetitia c'est à ton tour de décrocher, dépêche toi ! S'écrit Allyson d'une voix roque depuis ça chambre avant de plonger ça tête dans les oreiller.

- Oui..oui..j'y vais, doucement mais j'y vais,. Lance-t-elle d'un ton plus qu'endormie, marchant a l'aveugle sans oublier de se cogner une ou de fois au passage. »

Elle prit le téléphone sans même prendre le temps de regarder qui était l'imbécile qui les appelait à une heure aussi matinale.

-Oui, qui es-ce?! Lance Laetitia à l'appareil d'une voix agacée.

-Bien le bonjour mademoiselle, excusez-moi de vous réveiller si tôt, mais le boulot vous appelle, rejoignez moi au clocher de Springhills , le plus vite possible. Lui repond une vois familière.

- Oui dessuite boss, mais c'est une affaire de meurtre ou de suicide ?! Demande-t-elle tout en notant l'adresse.

- Contentez vous de venir le plus rapidement possible, je vous expliquerez tout sur place.

-Okay, on arrive d'ici 10 minutes.

- Bien, je vous attend.»

Laetitia coupe la conversation, avant de se rendre dans la chambre d'Allyson, lui tirant les rideaux histoire de la réveiller un minimum.

«-Allez la feignasse, on se lève! C'étais le boss, je lui ai dit qu'on y serait dans 10 minutes.

-Mais on doit se rendre où?! Questionne Allyson, la tête encore sous l'oreiller.

-Alors... au clocher de Springhills. Dit-elle en lisant sa petite note.

-Quoi?! S'écrit Allyson, Mais ça se trouve à l'opposé de l'appart ! On n'y sera pas en 10min... Dit-elle tout en se levant sans manquer de tomber au passage, prenant les premiers vêtement qui lui tombent sous la main.»

Elles ne prennent pas le temps de déjeuner , une fois habillée, elles se rende directement vers le lieu de l'incident se coiffant sur le chemin.

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