chapitre 5

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Elle me dit en s'approchant dangereusement de moi :

- Tu n'a pas intérêt à t'approcher de mon mec.
Tu ne le touche pas, tu ne le regarde pas, tu ne le fréquente pas, parce que sinon tu vas le regretter.

Alors la pour qui elle se prenait cette connasse, je fais ce que je veux merde, si je le touche, je le touche, si je le regarde, je le regarde, si je le fréquente, je le fréquente.

Elle à pas à me dire ce que je doit faire, c'est ma vie c'est moi qui décide, c'est pas la sienne, nan mais j'alucine.

Je suis tellement énervé que je lui crie en plein dans sa face de gogole :

-QU'EST-QU'IL Y A  SALOPE T'A PEUR QUE JE TE PIQUE TON MEC, PARCE QUE JE SENS QUE LA PUTE DE SERVICE IL VA S'EN PASSER EN 2 SECONDE, IL PRÉFÈRERA UNE FILLE SIMPLE PAS UNE PUTE COMME TOI, ALORS TU TE LA FERME !!!

Oh punaise non c'est pas vrai pourquoi j'ai dis ça
ALERTE ROUGE , ALERTE ROUGE, MAYDAY, MAYDAY, POURQUOI, j'ai dis ça, c'est sortie tout seul j'aurais du la fermer putain.

Tout à coup je vois son visage se décomposé, c'était trop drôle j'aurais du la prendre en photo, et la poster sur instagram tellement que c'était épique j'aurai plus de 10 million de j'aime, le beuz quoi😂😂

Après se petit moment d'ironie qui se lisait assez bien sur mon visage.
Sans même me rendre compte, je reçois une énorme gifle, monumentale si je puis-je dire.
Je pense que cette gifle déforma mon visage à vie.

À la seconde d'après, je pris alors ma mains le plus vite possible, pour la mêtre sur ma joue qui me brûlait atrocement.

Non elle avait comme même pas oser, elle m'avait gifler, oh la salope, je vais la lui rendre sa gifle mais en 2 fois plus forte.

Quand tout à coup, mes larmes commençairent à venir. Non, non pas maintenant je veux la tuer, vous pouvez pas venir plus tard petites larmes.

-Non ont a besoin d'évacuer me disent -t-elle

Connasse de larme.

Je me sentais tellement lâche, je me retins de pleurer à chaude larme, mais c'est plus fort que moi, je couru au toilette pour déverser toutes les larmes de mon corps.

Cette journée ne pouvais pas être pire.

Quand tout à coup quand je couru pour me diriger vers les toilettes une fille me renversa son café, elle ne m'avais pas loupée j'en avais partout vraiment...

Je retire ce que j'ai dis tout à l'heure, cette journée c'est vraiment de la merde.

-Oh pardon je suis vraiment désoler!
Attend j'ai un mouchoir tient. Me dit - elle en me tendant ce fameux mouchoir.

Génial, tu veux que je fasse quoi de ce mouchoir il sert à rien, pensais-je.

C'est alors que j'éclata en sanglot, j'en avais tellement marre de cette journée d'abord la gifle, puis après le café, que va t-il se passer ensuite.

-Non c'est pas grave, je viens de penser que j'ai mes affaires de sport dans mon casier, donc je vais me changer mais merci pour ton ...mouchoir. Dis-je en séchant mes larmes.

-Non mais laisse moi t'aider attend, je t'accompagne. Au fait je m'appelle Louise. Me dit-elle d'un ton doux.

- Merci dis-je, moi c'est Alixe

-Je crois t'avoir déjà vu quelque part, tu n'est dans le même court de français que mon frère ?

-Ah ouais. Lui dis-je intrigué.
Comment il s'appelle ?

-Il s'appelle Lucas Miniya

Un amour dangereuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant