Commencement.

45 4 45
                                    

Il était à peu près midi dans le centre ville de Tokyo, quand les rayons du soleil traversèrent les rideaux de la chambre de Fuyu. Il devait être levé depuis longtemps, mais n'avait probablement pas entendu les 365 alarmes de son téléphone et les 7828 messages qu'il avait reçu des autres. Le noiraud se releva enfin après une dizaine de secondes réveillé, allongé sur son lit à penser et mit ses pantoufles chaton pour descendre manger quelque chose avant de partir rejoindre ses amis. On était en début de juillet, ils devaient tous ensemble déménager aujourd'hui dans un appartement qu'ils avaient eu pour pas très cher, vu le nombre de pièces qu'il y avait. Le Chat attrapa un croissant qui était sur la table pour l'avaler tout rond, toussant juste après et manquant de s'étouffer. Il prit ensuite son téléphone pour lire les messages qu'il avait reçu de ses amis.

"8h54"

Oraoraora : "HÉ VOUS ÊTES RÉVEILLÉS"

Akalachnikov : "Non je parle en dormant là"

Chukolat : "Poki est où"

Oraoraora : Elle dort encore

Oraoraora : "euh tu sais qu'on doit être chez toi à 12h"

Akalachnikov : "QUOI DEPUIS QUAND"

Chukolat : "On l'a dit hier..."

Akalachnikov : "j'étais pas là"

Chukolat : "Ah"

Pokichallenge : "COUCOU LES AMIS"

Pokichallenge : "fuyu t ou"

Akalachnikov : " jsp mais faudrait qu'il bouge son cul là"

Chukolat : "jpari qu'il dort encore"

Akalachnikov : "il était là à 6h30 enft"

Chukolat : "ah zut"

Oraoraora : "j'l'appelle attendez"

"61 appels manqués"

Il y avait encore une tone de messages, mais il eu la flemme de les lire et parti dans la salle de bain pour se doucher, prenant même pas la peine de rappeler Ora. Le jeune homme sorti, une servitte sur la tête et autour de la taille au bout d'une bonne dizaine de minutes, prenant son téléphone pour rappeler le Corbeau, coinçant l'appareil entre son épaule et son oreille pour pouvoir s'habiller en même temps.

- "Allô ? Ah Fuyu on t'attends depuis 30 minutes tu fous quoi ramene vite ton cul a+"

Il n'eut même pas le temps d'en placer une qu'il avait déjà raccroché. Il enfila un t-shirt marinière, mit ses baskets, attrapa son sac à dos noir et courru tête baissée, avant de se rendre compte de l'état de ses cheveux en passant dans une glace. Il était parti pour une vingtaine de minute de brossage de cheveux, pour ensuite filer prendre son vélo et foncer chez l'oiseau, manquant plusieurs fois de se faire renverser par des voitures.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Aug 28, 2018 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

lubrifiant. (Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant