Izuku x Ochako (MHA FANFIC)

Chapitre 13: Soirée accidentelle

Il s'agit d'une suite directe du chapitre précédent. Aussi, un avertissement rapide : il y aura des baisers détaillés. Je le considérerais toujours comme PEGI-13, mais j'ai pensé vous le faire savoir.

PS : Et non, je sais que ça peut paraître comme ça, mais ce n'est pas un lemon.

Autre PS : Je n'arrêterais pas l'histoire du coup, merci pour tout vos messages

~+~

*Point de vue d'Izuku*

Juste au moment où je suis sur le point de demander pourquoi Ochaco est ici mais, je remarque une silhouette en bas du couloir. Ces longs cheveux noirs appartiennent indéniablement à M. Aizawa. S'il voit Ochaco près de ma chambre, j'aurai de sérieux ennuis. Je saisis Ochaco par les épaules et la tire dans la chambre tout en donnant un coup de pied à la porte qui ferme grace mon pied.

"Qu'est-ce que tu fais ?" Ochaco demande. Sa tête est détournée de moi, probablement en rougissant, et c'est là que je me rends compte de la situation dans laquelle je nous ai mis. Elle a son corps pressé contre ma poitrine qui coule sans t-shirt. Sans compter que nous sommes seuls dans une chambre d'hôtel puisque Denki, mon colocataire, s'amuse avec les autres gars.

Je recule rapidement, mon visage est maintenant aussi rouge que le sien, et je m'explique avant qu'elle ne pense que je suis un pervers. "M. Aizawa arrivait. Je devais faire quelque chose."

Je me dépêche de mettre un t-shirt bleu marine et de raccrocher ma serviette. "De toute façon, pourquoi es-tu venu ici ?" Je dis.

"Oh, ouais !" Ochaco jaillit quand je sors de la salle de bain vêtu. "C'est à propos de cette photo de Momo." Elle me montre son Instagram et bien sûr, Momo a posté quelque chose. J'ai les yeux écarquillés quand je me rends compte qu'il s'agit de nous plus tôt aujourd'hui. "Je n'arrive pas à la croire. "Regarde le nombre de j'aime ", dit-elle.

Le compte est de 174, ce qui est ce à quoi je m'attendrais de quelqu'un avec 500 abonnés. Même si je préférerais ne pas avoir 174 personnes qui savent qu'Ochaco et moi nous sommes endormis ensemble dans un bus, nous sommes toujours aussi mignons. "Je ne sais pas, c'est pas grave", je dis.

"Oui, je suppose, mais 174 personnes ?" Dis Ochaco. Elle n'a pas tort.

"Ça ne servirais à rien de lui demander de l'effacer maintenant. Laisse faire, j'te dis."

"Euh, très bien. Mais je la tuerai quand même demain."

Il y a un silence entre nous et je suis sur le point de parler quand elle dit : "Il n'y a pas de raison que je parte maintenant, n'est-ce pas ? M. Aizawa est probablement dans le couloir et je viens d'arriver."

"Tu peux rester un peu de temps", dis-je, assis sur mon matelas, celui le plus proche de la fenêtre. Je tapote les draps ouverts à côté de moi pour l'inviter à s'asseoir. Ochaco accepte mon offre, en se plaçant à côté de moi pour que nos épaules se touchent.

"Qu'est-ce que tu veux faire ?" demande-t-elle en prenant la télécommande comme si elle savait exactement ce que je vais dire. C'est là que je pense, quelle est la chose la plus douce que je peux dire en ce moment ? Je préférerais l'embrasser plutôt que de regarder des films tout en pensant à l'embrasser. Alors qu'elle est assise sur le matelas, sur le point d'allumer la télé, j'attrape son poignet.

"Ça", je lui dis en douceur.

Je lui tire le visage contre le mien, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre. Son corps se fige et elle émet un bruit méconnaissable, probablement dû à la surprise. J'attends qu'elle se détende dans le baiser avant de glisser ma langue dans sa bouche. Pendant qu'on s'embrasse, je pense que c'était plutôt doux.