Chapitre 7

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Des pas résonnaient dans le couloirs, avec horreur, je reculai et me cognai contre le mur d'en face. Tout mon corps trembla lorsque je vis sa silhouette se dessinai au bout du couloir. Une idée me traversa l'esprit et je décidais de défoncer la porte. A plusieurs reprise je couru vers la porte et donnai des coups d'épaule dans la porte pour l'ouvrir. Au bout de la 4eme fois, la porte s'ouvris et je m'engouffrai dans la pièce .Rapidement, je me retournais et la claquer au nez de mon poursuivant. Collée contre celle-ci, mes larmes se mélangeaient à la sueur qui glisser de mon front, je l'entendais donner des coups puissants et réguliers. Pendant des minutes entière les bruits de ses poings sur le métal froid résonnèrent. Ce fut les pires instants de tout ma vie. Pétrifiée, médusée, je l'entendis reculait et... Courir ! À son tour il enfonça la porte et je ne pus l'en empêcher. Je tombai en arrière sur les fesses. Une silhouette se profilait maintenant dans l'encadrement de la chambre. Effrayée, je reculai jusqu'à me cogner contre la porte de la salle de bain. Le garçon s'approcha et me cracha au visage:

- J'aurai pus être clément avec toi! Mais nan! Toi tu me rends la tâche encore plus difficile ! Tu m'énerve...

Il leva son bras et...un bruit sourd résonna . Je vis mon agresseur s'écrouler laissant place à une silhouette armé d'une chaise dans mon champs de vision. Celui-ci laissa tomber son arme au sol dans un grand bruit de fraqua et alluma la lumière. Malgré mon éblouissement, je pus distinguées ses yeux bleus et ses cheveux noirs. Willem ! Mon sauveur était Willem ! Le visage et les bras ensanglanté, il murmura :

- Mais merde.  ça va ?Et ça...ce n'est que le début ? Tu te rends compte...Compte de ce qu'il ont fait à cause du virus ... Imagine ce qu'il aurait pu faire au  stade 3. Imagine ce que nous on va faire...

Lentement,je repliai mes genoux sur ma poitrine et me mis à fixé le vide.Qu'est ce qui c'était passée? Qu'est ce que j'ai fais de travers? Seulement un jour que je suis ici et j'ai déjà faille mourir.   Il s'agenouilla devant moi et me regarda avec insistance.  Mon esprit brumeux tentait de s'échapper. J'étais comme en transe.

- Comment... Tu, te bat bien. Comment...comment t'as fait. 

Ses paroles étaient comme sortis toutes seuls. Mon corps tremblait. Je ne contrôlais plus rien alors lentement , au bord des larmes, je me mis à chanter. Chanter comme si ma vie en dependai; chanter des mots que même moi à cette instant ne comprenais pas; chanter jusqu'à ce que ma voix ne soit plus qu'un murmure. Les vers tremblaient. Les mots tremblaient. Mes sentiments, mes douleurs s'échappaient lentement à travers mes lèvres qui s'ouvraient et se referment suivant le rythme de mes pleurs. 

Ma tête bascula en arrière, heurtant le mur derrière moi. Tout à coup, une petite tête sortit de sous le lit bientôt suivie d'un corps. Miju. Voilà où elle c'était cacher pendant les affrontements. Elle s'approcha lentement de moi et posa une main sur mon épaule. Je baissai la tête et les regardai. Willem mit ses mains sous mes bras et me releva avec douceur.

Mais un bruit nous ramena à la réalité. Le jeune homme se relevait. Willem le poussa alors violemment des deux mains contre le mur d'en face. Le garçon, étourdi, vola entre la commode et le bureau, écrasant au passage sa tête contre le mur. Son corps inconscient s'effondra comme une poupée chiffon qu'un enfant aurait lâcher, laissant entrevoir une trace de sang. Willem se tourna vers moi. Ses yeux bleu ne lâchait plus les miens et il lâcha un long soupir de soulagement. Tout à coup une nouvelle silhouette apparu derrière Willem. Sacha se tenait la, nous regardant en chemise de nuit. Willem le toisa longuement avant de s'approchait de lui et le doigt tendu vers Winston, il chuchota :

- Où étiez vous ? 3 personnes se font agressées, dont une petite de 10 ans , par 3 gars d'environ 18 ans, et vous ! 

 Il posa son doigt lentement sur son thorax. Puis explosa: 

M.C.4Où les histoires vivent. Découvrez maintenant