Je regardais le ciel me demandant ce qui allais encore m'arriver. Assis sur ce banc, j'attendais que le temps passe. J'attendais que les réponses à mes questions arrive par magie. Je pensais que la vie n'était pas vraiment utile, jusqu'à ce que je le rencontre.
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Alors que j'étais assis sur ce banc en face du lac, je l'ai rencontré. Il était grand, brun. Il avait des yeux clair, mais indistinguable dans la nuit.
Alors que je l'observais intrigué de sa présence, il s'assoit à mes côtés et me sourit.- J'aurai du te le demander avant mais, je pourrai rester à tes côtés ?
- Oui, ce banc ne m'appartiens pas.
- Tu t'es déjà demandé pourquoi la vie et la mort ?
- Oui, comme toutes personnes normal. Pourquoi?
- Car moi avant aujourd'hui, je n'y avais jamais pensé.Il se tourne vers le lac et soupire avant de me regarder à nouveau toujours en souriant.
- D'accord. Lui dis je avant de regarder à nouveau l'horizon.
- Tu as vécu une chose tragique, qui a produit se besoin de penser à la vie et la mort ?
- Pourquoi je te le dirai.
- Tu veux que je me présente avant ? Me connaître t'aidera peut-être à me faire confiance.
- Vas y.
- Je m'appelle Mathis, j'ai 17 ans. Je vis avec ma mère et ma petite soeur dans un appartement à quelque pâtés de maison d'ici. Mon père lui habite au Canada. J'ai été déscolarisé il y a 2 mois.
- Pourquoi as tu été déscolarisée ?
- Tu le sauras en continuant à me parler.
- Est-ce pour cette raison aussi que tu t'es poser des questions sur la vie et la mort ?
- En quelque sorte. A ton tour, qui est tu ?
- Je m'appelle Maryline,j'ai 16 ans. Dans 3 jours j'en aurai 17. Je vis avec mes deux parents et je suis fille unique. Je travaille depuis peu en tant que serveuse.
- Tu as donc toi aussi arrêter tes études ? Je pense que tu as aussi tes raisons.
- Oui, c'est une histoire de maladie.Il paraît surpris, son sourire disparaît petit à petit.
- Quelle maladie ? Si je peux te demander.
- Une maladie qui se forme à cause des autres. Une maladie dont certaines en meurt. Cette maladie porte le nom de « la dépression ».
- On t'a harcelé ?
- Oui, pendant 3 ans. On m'a insulté, rabaissé. J'étais seul à longueur de temps.
- J'aurai voulu êtres là, pour te défendre. Leur dire à tous, que c'était une injustice d'êtres à plusieurs contre toi seul. Et si à ce moment ça n'aurai rien changer, je serrai rester à tes côtés.L'observant me parler, il avait l'air sérieux. Il paraissait sûr de lui. Il me parlait comme si il me connaissait depuis toujours.
- C'est donc pour cette raison que tu as pensé à la mort ? Car tu t'es fait harceler.
- Exact Sherlock.Son sourire réapparaît doucement à l'entente de ma remarque.
- Dit moi, quand tu t'es fait harceler, qu'elles ont été tes pensées ?
- Le suicide.
- Non mais, je veux dire en rapport à la vie. Ta vision de la chose.
- Je pensais que le monde m'en voulais. Je me suis demandé, pourquoi moi. Pourquoi ses personnes, elles, elles étaient heureuse ? Pourquoi moi, j'avais du avoir cette vie là ? Avec le temps, j'ai pensé au suicide. Et je ne suis résigné a temps, car à se moment la, j'ai penser à la vie et à la mort. La vie est cruel, personne ne peux dire le contraire. Mais la mort l'est encore plus. Le suicide pour rejoindre la mort, c'est une preuve que tu as perdu. Que ses personnes ont gagner, elles ont eu raison de toi. Ce suicider serrai leur montrer de l'importance.
- Tu ne pense pas qu'arrêter l'école aussi ?
- Si, c'est aussi leur donner de l'importance. Mais je n'ai pas arrêter l'école juste à cause d'eux.
- Si tu n'es plus harcelé et que tu ne veux pas te suicider; pourquoi es tu seul ici, à regarder le ciel ?
- Car malgré que tout vas bien dans ma vie pour le moment, les blessures du passé on laisser de grande cicatrice en moi.23:09, c'est l'heure à la quelle je l'ai rencontré.
23:17, c'est l'heure a la quelle j'ai décidé de faire confiance à Mathis.
23:21, c'est l'heure à la quelle j'ai décidé de lui parler de mon passé. Et tout ça sans savoir comment cette nuit allait ce terminer.
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Une nuit à te parler
Teen FictionJe regardais le ciel me demandant ce qui allais encore m'arriver. Assis sur ce banc, j'attendais que le temps passe. J'attendais que les réponses à mes questions arrive par magie. Je pensais que la vie n'était pas vraiment utile, jusqu'à ce que je l...