Une nuit à te parler

Famille

- De quoi veux tu parler maintenant ? Me demande t il.
- Je pourrai te demander quelque chose ?
- Oui, vas y.
- Je me demande, ton père n'habite pas avec vous, alors je pense qu'il y a des problèmes de familles.
- Comme dans toute les familles. Mais tu voudrais que je t'en parle ?
- Si c'est pas trop indiscret.
- Ne t'inquiète pas, mais après tu me parleras de ta famille.
- D'accord.

Il inspire un bon coup et commence son histoire.

- Mes parents se sont rencontrés quand ils étaient jeunes. Ils avaient des amis en commun et ils sont donc tous allés à la fête foraine. Ma mère est tomber tout de suite amoureuse. Avec le temps, il sait passé plusieurs choses, dont ma venu. Je suis née par accidents. Mais mes parents m'aimaient quand même. Ma mère a alors arrêté ses études et à commencé à s'occuper de moi. Pendant que mon père lui continuait son apprentissage en t'en qu'avocat. Quand mon père a commencé à travailler, ils se sont pris un petit appartement près du cabinet. Tout allais bien. A l'âge de 14 ans ma petite soeur est arrivé. A ce moment, tous c'est compliqué entre mes parents. Ils ont commencé à souvent ce disputer. J'ai commencé alors à m'occuper à longueur de temps de ma soeur. Étonnamment, même en travaillant très peu mes cours, je réussissais avec brio mes examens. Après 1 ans de dispute mes parents ont décidé de divorcer. Mon père a été alors muté au Canada et ma mère a trouver un petit travaille en tant que vendeuse.
- Comment s'appelle ta soeur ?
- Ludovica. Bon alors à toi, qu'elle est l'histoire de ta famille.
- Mes parents se sont rencontrés au travaille. Leurs histoires n'est pas très romantique, je ne vais donc pas m'attarder dessus. 1 an après leur rencontre, ils se sont marier. Avec le temps, ils ont voulu un enfant. Mais malheureusement une des deux ne pouvais pas en avoir. Ils ont donc décidé d'adopter. Je suis alors arrivé. J'ai eu tous l'amour dont un enfant a besoins. Par la suite, ils ont miraculeusement eu une descendance. Tout allait bien, mais comme tu le sais je suis fille unique. Mon petit frère est décédé à la naissance. Ma mère ne sens ai jamais remis. Elle a arrêter de travailler et c'est braquer. Elle n'arrivais plus à me donner l'amour dont j'avais besoin. C'est donc mon père qui me le donnait. J'ai arrêter mes études pour les aider financièrement. Et me voilà.
- D'accord.
- C'est étrange.
- De quoi ?
- C'est la première fois que je raconte que mon frère et décédé, et que la personne ne me souhaite pas ses condoléances. Je trouve ça, mieux.
- Les gens te le dise par respect. Pour te souhaiter de vrai condoléances, il faudrai que la personne est connu ton frère. Je sais, que si il a un moment ma soeur décède. Je préférerai que les gens ne me dise rien. Non seulement, car il ne l'on pas connu personnellement. Mais aussi car, quand on te souhaite les condoléances, sa concrétise le faite que cette personne cher à ton coeur ne reviendra plus jamais.
- Je peux comprendre. Mais il ne faut pas oublié que certaine personne apprécie les condoléances.
- Oui, chacun a une vision différente. Les condoléances peuvent aussi te faire sentir que tu n'es pas seul. Que ses personnes qui sont tes amis, sont là pour toi, dans les bons comme dans les mauvais moments.
-Exactement.
- Donc, avec ta mère ?
- C'est compliqué, ça empire de jours en jours.
- Elle était à tes côté quand tu t'es fait harceler ?
- Mon frère n'était pas encore née, donc oui. Et j'avoue que des fois je me demande si elle m'aime vraiment.
- Elle t'aime. Elle t'aime tout autant que ton père, mais tu sais, c'est compliqué de perdre un enfant. Elle a sûrement peur de te perdre toi aussi. Et ça manière de ce protéger est de t'éloigner.

Une larme coule le long de ma joue gauche. Il lève ça main et à l'aide de son pouce l'essuie.

- Ne doute jamais de l'amour que ta mère te porte. Si elle t'a adopté, c'est qu'elle t'aime.
- Tu as raison.

00:24, c'est l'heure à la quelle j'ai raconter pour la premier fois la peur que j'ai sur la relation entre ma mère et moi.