Le Triomphe.|Tome2.|Nekfeu.

31.

"Aucune action n'est sans conséquence,
Mais certains accidents sont bénéfiques."

Toronto, 18octobre:

-Très bien, je vais demander à un de mes associés de venir faire une visite et de là nous verrons avec l'ensemble des associés afin de prendre rapidement une décision. Dans tous les cas, je vous remercie énormément. Bonne journée à vous.

Je raccrocha rapidement avec ce petit agent immobilier très sympathique qui se démenait pour nous trouver des locaux bon en même temps ca aide d'avoir les gars comme associés hein.

-Tu parles à qui?, me demanda Ken.

Merde.

-A Deen, il voulait savoir si il était crédible comme futur acheteur pour un appart'.

Pire mytho de l'histoire.

-Ah ouais! C'est vrai qu'il m'en avait parlé qu'il voulait déménager mais je pensais pas que c'était si pressé.

MDR Deen je t'aime actuellement.
Ken vient se placer derrière moi en m'entourant de ses petits bras musclés.

-Quoi? T'en as pas eu encore assez de cette nuit?

Oui bon pas de besoin de faire un dessin de notre dernière nuit. Je peux vous dire qu'on a pas beaucoup dormi.

-Ah tu parles du moment où on est rentrés, quand tu m'as langoureusement embrassé?

Ah il veut jouer ce petit con? Très bien.

-J'aurais plus pensé au moment où tu n'as pas pu t'empêcher de me plaquer très délicatement contre la porte de la chambre et où tes mains ont glissées lentement vers mes fesses., lui dis- je en posant ses mains sur mes fesses pour lui faire remonter plus facilement les souvenirs de la veille.

Un petit sourire taquin et joueur se posa sur ses fines lèvres de babtou.

-Ah bon? Moi je me rappelle plutôt du moment où TES mains ont entrepris un voyage sous mon tee-shirt très très sensuellement et qu'elles se sont arrêtées au niveau de la ceinture de mon jean.

Ah oui lui il joue cash.
En plus il me vole ma technique puisqu'il pris mes mains, les embrassa et retraça le chemin qu'il venait de prononcer.
Très bien le message que je devais envoyer à Deen pour le local attendra, j'ai plus important sur le feu et c'est le cas de le dire.

-Et tu te rappelles quand tes mains m'aidèrent à enrouler mes jambes contre ton petit corps tout frêle? Tu sais quand t'as commencé à m'embrasser mon cou et me laisser quelques petites marques aux endroits que j'apprécie fortement.

Comme nous avions bien commencé, toutes nos paroles se transformèrent en gestes.

-Tu veux dire quand j'ai fais ça?, me demanda-t-il en reproduisant les mêmes gestes de la veille.

-Hum, oui exactement et je crois que hum.. c'est à ce moment là que j'ai débouclé ta ceinture et que j'ai commencé à toucher une partie sensible chez toi hum, je crois., tentais-je d'articuler correctement.

Mes gestes étaient si lents contrairement à hier soir..

-Puis si je me trompe pas c'est là que j'ai fais passer ma main sous ton tee-shirt et que je nous ai dirigé vers la table au bout de la chambre..

Ken se mit à me toucher la poitrine tout en nous menant à cette sacrée table, pendant que moi je continuais à m'amuser avec son ouais fin voilà quoi, sa bite.

-Je crois qu'après c'est le moment où t'es descendu et que ta bouche s'est retrouvée en face de mini-Samaras... non?

J'étais complètement à sa merci, j'arrivais même plus à parler, il n'y a que lui qui parlait et qui nous guidait.
Et je crois que Ken adore ça.