closing a goddamn door

Chapitre 8: l'ange ou le fou ?

Trévor dépose sur le sol les objets qu'il tenait dans sa main. Je m'approche pour découvrir que c'était ce que j'avait voler dans mon lycée.

-regarde, derrière le mur que tu voit il y a ta mère. Dit il avec sa voix de présentateur. Avec les objets devant tu peut faire tous ce que tu veut. A toi de voir.

La joie et l'excitation me monte au cerveau. Me dire que ma mère est derrière ce mur fait une explosion dans tout corps ! Explosion ? Oui explosion ce mot fait plusieurs fois le tour de mon cerveau jusqu'à que je comprenne qu'avec tous ça je peut faire... UNE BOMBE ! Je n'hésite pas une seconde. Je saute sur le matériel voler et commence à faire un assemblage. Merci les cours de physique-chimie ! Après avoir fait la première partie de ma bombe artisanale je la recouvre d'un carton fin et j'écris dessus « clossing a goddamn door ». C'est cette phrase qui revient à chaque fois que je pense au début de cette histoire. Cette phrase qui était écrite sur le van où tout a commencé et cette phrase qui réapparaîtra à la fin de cette histoire. Trévor regarde mes fais et gestes. Une fois la bombe en place et après avoir établi une zone de sécurité je lance le compte à rebours.

-10...9...8...7...6...5...4...3...2...1...0 !

Je sens un peut la propulsion. De plus, mes oreilles siffle un peu.
Il y a trop de lumières j'arrive à peine à voir.
Une fois le nuage de fumée parti mes yeux commence a remarqué une forme qui ressemble à un ange.

-Trévor ? Es un ange ? Non attends un peut on dirais... on dirais un fou en cage !

Trévor ne répondis pas. Je m'approche pour voir qui est cette chose et j'aperçois clairement les courbe d'une femme. Plus je m'approche plus les détaille apparaisse.

-Maman ? Maman !! Je cris.

- ma chérie !! Tu ma tellement manquer ! Dis ma mère avec une voix douce et attentionnée.

-holala ! Es que tout va bien ? Tu mange bien ? On ne te mal traite pas ? Je me suis fait tellement de soucis pour toi j'ai tout fait pour te sauver ! Dis moi que ça va.... je commence à pleurer à chaude larme en voyant ma mère si belle dans ces vêtements blanc.

Elle se trouvait dans une pièce blanche. Tout les meubles était blanc sans aucune nuance. Je m'étais mise assez loin de la cage car l'émotion était trop forte.

-Ma...ma...maman je vais te...te sortir de cette PRISON !! Je cris dans mes sanglots.

Je pris une barre de fer d'un des tuyaux du décor.

-éloigne toi maman. Je vais mettre en miette ces barreaux.

Je commençais à taper sur les barreaux et soudain je me rendit compte que c'était en fait... qu'un écran. Un énorme écran où il diffusait des images de ma mère. Après avoir fait cette découverte je poussai un énorme cri de tristesse et de colère. Je pris la barre de fer et sorti par la porte où était rentré Trévor. Il tente bien que mal à m'empêcher de sortir pour tout m'expliquer mais je l'ignore. Ma mission est bien simple savoir pourquoi ils m'ont obligé à faire ça pour rien. Je cours vers le hall d'entrée jusqu'à apercevoir le chef. Avec discrétion je me glisse derrière lui et lui met la barre devant la gorge pour le menacer de mort.

-ou est ma mère ? Je pris une voix d'héroïne.

- je... je ne sais pas de quoi vous parler. Il dis inquiet pour sa vie.

-pourquoi m'avoir fait faire un labyrinthe dans le seul but de me monter ma mère sur un écran?

-je... je ne... vous dirais rien ! S'oppose-t-il.

-dite la vérité ! Je cris en approchant d'un coup la barre vers lui.

Quelqu'un me pose un canif sur mon cou. On aurais dit qu'on jouait à la roulette russe involontairement dans ce hall.