16. 𝕮𝖆𝖑𝖊𝖇

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Ce que je venais de faire était juste incroyable, je venais aussi de faire la plus grosse connerie de toute ma vie, mais j'en avait tellement envie, je repensais à ses lèvre et a l'excitation que j'avais ressentis et j'avais peur de la suite quelque part je ne voulais pas continuer mais en même temps, je le voulais plus que tout car ma vie était plus qu'ennuyante il n'y avait plus rien d'intéressant et la routine ce faisait sentir sur moi et Rachel les choses ne bougeait plus entre nous, et grâce à Jane mon excitation mes envies tout ceci me faisait vibrer et j'avais tellement envie de continuer ce jeux de séduction, alors dans l'ascenseur j'essaye de reprendre mes esprit avant de retourner dans la voiture, je respire un coup et je sors du bâtiment ou il pleuvait des cordes, lorsque je trottine jusqu'à ma voiture je me disais pourvu qu'elle ne remarque rien !
Je monte et c'est alors que je la regarde, elle était entrain de se maquiller je soupire et démarre, elle pose son maquillage et elle me regarde.
« Tu en a mis du temps ! » dit-elle de façon neutre je pense qu'elle ne se doute de rien, je commence à rouler en direction de chez nous.
« Oui c'est normale. » dis-je de façon sèche comme à mon habitude, elle arque un sourcils.
« C'est... normale ? » dit-elle surprise, je ricane.
« Je n'allais tout de même pas la laisser porter sa valise jusqu'à sa chambre, et je lui est dit au revoir et c'est tout, elle m'a demander aussi de prendre soin de toi. » dis-je j'espère que cette excuse va bien fonctionner, elle souris.
« Elle est adorable ! » dit-elle avant de ranger ses affaires dans son sac, ouf me dis-je j'avais eu chaud, je me demandais comment Rachel n'avait-elle pas remarquer tout ce qui se passait autour d'elle, je ne relève pas plus longtemps et je continue de conduire jusqu'à chez nous, au bout de quelque minute Rachel entame la discussion.

"Tu ne trouve pas que Brad c'est quand même pas mal foutu de la gueule de Jane, je veux dire il a du coucher avec elle et il a quand même mis fin, je ne comprend pas sa ne rime a rien." Dit-elle c'est vrai, mais comme Jane l'avait dit et Brad aussi ce n'était qu'une histoire de sexe rien de plus, en ayant cette discussion et le fait que Rachel me parle de sa je serre de plus en plus les poings sur le volant pour essayer de me canaliser, je détestais entendre que c'est deux la avait été ensemble, et pourquoi avait-il fallu qu'elle couche avec mon meilleure ami !

Arriver devant notre maison je ne perd pas de temps je sors nos deux valise et verrouille les portière, Rachel me regarde étrangement car je fais tout ceci dans des gestes brusque je ne m'en rend pas compte jusqu'à ce que Rachel me le fasse remarquer.
"Caleb, doucement avec le matériel tu es énerver ?" Demande t-elle, je ne m'était pas rendu compte alors je la regarde après avoir verrouiller les portes de la voiture, j'arque un sourcils et hausse les épaule.
« Non." Dis-je simplement avant de porter les bagages jusqu'à notre maison, je dépose nos valise dans l'entrée et je monte à l'étage pour commencer à bosser sur mon ordi dans mon bureau, je ne voulais certainement pas rester avec Rachel je savais qu'elle allait me parler de Jane et de Brad ou alors de petit potins qui ne m'intéressais absolument pas, je voulais juste repenser au baiser que j'avais échanger avec Jane se baiser qui m'avait donner le frissons que j'attendais de puis tellement longtemps, ce frissons que je n'avais jamais eu avec Rachel lors de notre premier baiser, Jane ses lèvres pulpeuse et rose, son gout légèrement sucré, elle me fascinais tellement ses courbes de femme fines était plus que parfaite. Je pense à tout sa et je suis perdu avais-je fais la plus grosse connerie de ma vie ou avais-je fait la décision qui allait tout changer à ma vie, je suis dans le néant profond et je me sens comme tomber, repenser a tout ceci elle me rendais fou rien qu'en la voyant se mettre en maillot de bain elle était magnifique, sa peau douce et blanche d'un blanc magnifique, ses yeux bleu magnifique me fascinais on pourrais se noyer dedans, son visage fin que je rêvais de voir coller à mon torse, je repensais a ses yeux pleins de désir quand je m'approchais d'elle pour l'embrasser ses lèvres pulpeuses me qui me donnais envie terriblement de les embrasser, et je ne pouvais pas me retenir c'était quelque choses que je ne pouvais pas lorsque nous étions arriver seule chez elle j'étais obliger de l'embrasser son corps tout me rendais absolument fou et faible à la fois cela me faisait réellement peur d'être aussi proche d'elle mais en même temps aussi loin d'elle car au finale je ne la connaissais pas aussi bien que sa.
Lorsque tout à coup, après ces penser érotique et qui me donnais chaud Rachel entre dans ma chambre je relève la tête et je la regarde surpris j'avais l'impression d'être pris en flagrant délit. Je fronce mes sourcils lorsqu'elle croise ses bras sur sa poitrine, elle semble frustré mais en même temps énerver je ne sais pas.
« Quoi ? » demandais-je, elle soupire.
« Tu as quoi ? Je ne te comprend plus. » dit-elle exaspérée avant de s'assoir sur le fauteuil derrière elle, je me redresse et je soupire à mon tour agacer qu'elle veuille parler  de ça, je pensais surtout qu'est ce que j'allais lui dire ? Parce que je ne voyais pas quelle excuse j'allais trouver pour justifié je faite que je sois aussi distant avec elle.
« Je suis juste préoccuper par le boulot. » dis-je en  passant mes mains sur mon visage, elle se relève et sourit d'une façon coquine, je la regarde interrogateur elle s'avance au devant de moi et me grimpe dessus, face à moi sur mes genoux je la regarde et elle me regarde avec des yeux désireux mais je savais que je ne renvoyais pas ce même regard.
« Je sais ce dont tu as besoin mon amour.. » me dit-elle d'une voix suave en m'embrassant dans le coup, elle entour ses bras autour de mon coup en laissant des baiser humide, je fronce les sourcils agacer par ceci, je retire ses bras de mon coup et elle me regarde surpris même très étonner dirais-je, toujours sur mes genoux elle fronce les sourcils.
« Caleb tu me trompe ? » me demande t-elle, je sens la chaleur monter dans mon corps elle me regarde et moi j'ouvre les yeux en grand, mais je fais comme si j'étais surpris par sa question.
« Non enfin ! Non ! » dis-je, elle se relève et ricane.
« Alors pourquoi tu me repousse sa fait déjà deux fois ! Je veux dire c'est pas comme si on le faisait tout les jours mais, ont le faisais et d'un coup tu es trop préoccuper ? » me dit-elle énerver, je soupire, elle ricane.
« Écoute je suis préoccuper par le taff c'est tout et puis en se moment je suis fatiguer et ce week-end pourri ne m'as absolument pas aider. » dis-je en me levant pour m'avancer au près d'elle, mais elle recule et me lance un regard noir, je soupire je suis désespéré.
« Écoute je ne te trompe pas c'est juste-» commençais-je mais elle me coupe.
« Oui tu es préoccuper c'est bon j'ai compris. » dit-elle me fascisant signe d'arrêter de sa main droit et de l'autre se tenant le front, les choses non même pas évoluer qu'entre nous les choses vont mal, cette Rachel était la femme de ma vie mais il semblerais qu'une autre se présenterais et peut être mieux destiner à faire cela. Rachel soupire encore une fois et sors de mon bureau, je soupire moi aussi à mon tour je ne sais plus où j'en suis et je commence à me poser des question est ce que Jane et moi n'allons pas beaucoup même trop loin, je tiens à Rachel mais mon attirance pour Jane deviens vraiment un gros problème et pour passer à autre choses cela deviens assez compliquer.
Tout à coup j'entend la porte d'en bas claquer, lorsque je regarde par la fenêtre je vois Rachel avec un sac partir, je descend rapidement en courant pour la rattraper je cours tellement vite que je manque de peut de me casser la figure sur le sol, lorsque j'ouvre la porte elle va pour monter du coter conducteur.
« Tu vas où ? » dis-je à moitié essoufflé par le peut de course que je venais de faire.
« Je par dans un endroit où je suis d'être tranquille et aimer, bonne nuit. » dit-elle avant de monter et de démarrer. Je la regarde partie sans pouvoir faire réellement quelque choses je me contente de la laisser partir, je me demande si je n'aurais pas dû jouer la comédie pour éviter cela, je la regarde partir et prendre la sortie et s'en aller au loin, comme un con je suis devant notre porte d'entrer dans le froid du soir et je me demande pourquoi je reste là, alors je rentre et je soupir en m'affalant dans mon canapé je décide d'allumer une cigarette pour me détendre de tout ceci, qu'allais-je faire ? Je devais parler à Rachel lui dire qu'il n'y avait rien.
Tout à coup je décide d'aller voir si Rachel n'était pas chez Jane elle a parler d'être aimer alors elle parlait sûrement de chez Jane. J'écrase ma cigarette et je sors de la maison munis de mes clé de voiture et de mon blouson.

𝑳𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒊 𝒅𝒆 𝒎𝒂 𝒎𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒓𝒆 𝒂𝒎𝒊𝒆Où les histoires vivent. Découvrez maintenant